Société
Associations pro-migrants : enquête sur ceux qui profitent de l'immigration de masse
« Ensemble, contre l’extrême droite ». Le 13 juin 2024, alors que la campagne des élections législatives anticipées bat son plein, le Club de Mediapart publie un communiqué ainsi intitulé. S’ensuit un long texte radotant sur les nombreux dangers supposés que représenterait l’arrivée à Matignon du Rassemblement national. La liste des signataires est longue comme un jour sans pain. Parmi la floppée de structures et syndicats signataires, tous fortement marqués à gauche, s’y retrouvent un certain nombre d’associations. Ces associations, comme La Cimade, Utopia 56, France Terre d’Asile, ou encore Emmaüs France, ont en commun d’être engagées en faveur de l’immigration, et d’être fortement subventionnées pour cela, en faisant un véritable business.
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6 commentaires
vert10
Rétablir, le délit d'aide aux clandestins. Et imposer le traitement des dossiers de demande d'asile par nos ambassades.. Et interdire les demandes depuis en France.
Signaler un abusImperius
J'espère qu un jour on fermera toutes ces associations et qu effectivement on retablira le delit d'aide aux clandestins.
Signaler un abusSapereAude
Légiférer que quiconque entre illégalement sur le territoire se verra refuser toute « régularisation » à vie, y compris toute future demande légale d’asile ou de visa, est-ce que ça ne freinerai pas tous ces flux ?
Signaler un abusvert10
Salaire de 200.000 euros par an, Audi Q7 de fonction, cartes prépayées, séminaires fastueux… : le directeur d’Equalis, une association d’aide aux migrants, sera jugé en juin . Non seulement les cadres sont nombreux. Mais en plus, ils sont trop payés selon les calculs des inspecteurs. Le mieux loti est le directeur général, Arthur Anane, licencié depuis. Il a perçu 203 000 euros au cours de l’année 2020. Si l’on applique la loi, cela correspondrait par projection à la rémunération d’une personne à la tête d’une association qui génère 1 milliard d’euros de chiffres d’affaires. « Ce qui n’existe pas en France. » Les neuf directeurs du comité exécutif (Comex) ont toutes et tous perçu au moins 100 000 euros annuels, ce qui correspond au salaire normal « du directeur général de toutes les associations similaires étudiées ».
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L’ancien député du Rhône, Yves Blein PS , a racheté une entreprise qui loue à prix d’or des bungalows en partie insalubres à une association hébergeant des demandeurs d’asile. Les salariés de l’association dénoncent un conflit d’intérêts et un gaspillage d’argent public. Les salariés de l’association 2ChosesLune, qui gère l’hébergement d’urgence de migrants sans-abri dans des «villages» de bungalows, ont lancé un appel à la grève ce vendredi 31 janvier et annoncent des rassemblements dans plusieurs communes où l’association est implantée, à Caen, Bourgoin-Jaillieu et Montpellier. Les représentants des salariés dénoncent en effet un «conflit d’intérêts» entre 2ChosesLune et l’entreprise Dom’Ici, qui est depuis la création de l’association son seul fournisseur : Dom’Ici loue auprès de 2ChosesLune les bungalows où sont logés les demandeurs d’asile.
Signaler un abusvert10
“Train de vie fastueux” : L’ancien directeur de Viltaïs au tribunal pour détournement de fonds publics, faux, escroquerie et prise illégale d’intérêt. Proche de Laurent Wauquiez, il était l’instigateur du projet de centre de migrants à Belabre . Le président LR de région , L Wauquiez, est sommé de s’expliquer sur les subventions versées à une association en charge de la répartition des migrants, ainsi que sur la présence de son directeur général parmi les élus de la majorité. A première vue, tout les oppose. D’un côté, Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne Rhône Alpes. De l’autre, Viltaïs, association désignée comme partenaire des acteurs publics locaux dans le projet de répartition des migrants sur le territoire français. Yannick Lucot ex-LR , l’ancien directeur général de Viltais, association spécialisée dans la réinsertion et la prise charge des mineurs isolés en Limousin est cité à comparaitre, le 11 decembre devant le tribunal de Moulins pour, entre autres, détournement de fonds publics. Viltaïs, l’association qui souhaite installer des migrants dans le village de Belâbre, avait été mise-en-cause par la cour des comptes pour les 7 SUV BMW de ses dirigeants
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