Immigration
[EDITO] Il faut dévoiler les acteurs du Grand Remplacement
La gauche a souvent fait de la transparence son étendard. Qui ne se souvient pas des révélations fracassantes de Mediapart sur Jérôme Cahuzac, qui avaient conduit à la création de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique ? L’idée que les journalistes de gauche se battraient pour moins d’opacité, pour dévoiler les conflits d’intérêts et autres liens douteux a fait son chemin. Mais aujourd’hui, force est de constater que cette quête de transparence est bien sélective. Certains sujets sont soigneusement évités, et parfois, ça pique.
Prenons la question des dispositifs d’aides aux clandestins. Le silence règne chez nos confrères de gauche quant au suivi de l’argent public qui finance cette immigration de masse. Toute cette manne financière se noie dans les marées de tribunaux administratifs surchargés, les aides juridictionnelles trop généreusement distribuées, les associations pro-migrants nichées confortablement dans nos institutions et les avocats avides d’argent facile.
Pendant trop longtemps, le journalisme d’enquête a abandonné ce terrain. Aucune surveillance sérieuse n’a été faite sur les rouages administratifs qui financent l’immigration de masse et sur l’entrisme des associations « no borders » dans les préfectures. Les véritables enjeux de la question migratoire se cachent dans les méandres de ces dispositifs parfois complexes, là où loin des regards se tissent des réseaux d’associations, de syndicats, de fonctionnaires et d’avocats en circuit fermé. Vous avez dit transparence ?
Enquêter sur les pompes aspirantes de l’immigration illégale revient à s’attaquer à une culture dont notre action publique a pris l’habitude : prendre l’argent dans la poche des Français et le redonner aux migrants sans avoir de comptes à rendre. Chaque année, nous formons de nouveaux petits fonctionnaires, de froids hommes gris qui apprennent avec enthousiasme tous les avantages que possèdent les clandestins dans notre pays. Il n’est d’ailleurs plus question de parler d’étrangers ou de clandestins, mais d’exilés.
Pourtant, partout les témoignages affluent. Dans les cafés, les transports en commun, les salles d’attente des hôpitaux, des Français alertent sur l’injustice sociale qu’ils constatent au quotidien. Un migrant ne paie pas son ticket de métro et se fait contrôler ? C’est une amende qui restera lettre morte. Un clandestin se fait soigner gracieusement à l’hôpital ? Il repartira comme il est venu et ne paiera jamais sa dette.
Ces récits alimentent un sentiment d’injustice profond dans notre peuple. « Pourquoi, un étranger en situation irrégulière peut-il conserver son titre de séjour malgré des délits répétés ? Pourquoi devons-nous payer pour lui ? » Tout le monde ne connaît pas le mammouth administratif français – peut-être d’ailleurs que personne ne le connaît vraiment–, mais chacun perçoit que les comptes ne sont pas bons.
Trop longtemps, nous avons abandonné ces sujets à la gauche. L’administration et la justice sont devenues le terrain de jeu des associations pro-migrants. Il est temps de réinvestir l’investigation sur l’administration. Il faut briser cet entre-soi de fonctionnaires formatés à une idéologie pro-migrants qui refusent de regarder la réalité en face.
Il faut révéler les pompes aspirantes sociales de l’immigration incontrôlée. Non pas par idéologie, mais par respect pour notre peuple, pour leurs impôts, car leur droit le plus strict est celui de savoir où va leur agent.
Notre système est étouffé par une immigration de masse, chaotique. Il l’est également par des dispositifs tellement opaques qu’ils en deviennent inaccessibles pour le citoyen moyen. L’administration française a réussi une prouesse : elle est devenue tellement lourde, tellement étendue, tellement complexe qu’elle en est incompréhensible, même pour les plus savants. Alors, personne n’ose toucher à rien, de peur que cette pesante machine ne se mette à l’arrêt ou ne se brise.
Lutter contre l’invasion migratoire passe bien sûr par davantage de contrôles aux frontières. Mais aussi, par davantage de surveillance de nos deniers publics.
Ce travail d’enquête et d’investigation n’a qu’un objectif : mettre en lumière ces acteurs de l’immigration dont personne ne parle, mais sans qui le Grand Remplacement n’existerait pas.
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3 commentaires
vert10
Selon les contribuables associés estime le coût de l'immigration à 55 milliards d'euros par an. Sinon toutes les études universitaires en GB Allemagne pays bas . Démontre que l'immigration arabo musulmane africaine ou moyen orientale coûte
Signaler un abusSapereAude
non seulement ces études montrent qu'elle coûte, c'est à dire que le bilan net est négatif (les dépenses sont supérieures aux gains financiers pour la société), mais en plus ce bilan net ne devient jamais positif sur toute la durée de présence, c'est à dire tout au long de la vie.
Signaler un abusSapereAude
Kristi Noem, Secrétaire d’État du Département de la Sécurité Intérieure (Homeland Security) vient d’annoncer le gel complet des subventions à toutes les ONG qui sont financées par les USA mais qui oeuvrent contre lui. Elle illustre son propos avec l’exemple de celles qui s’installent au Mexique, de l’autre coté de la frontière, et qui facilitent l’immigration clandestine (selon le même procédé des ONG en Méditerranée pour l’Europe) : https://www.youtube.com/watch?v=GhnWXrs1M1I
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