« On profite des allocs et on t’emmerde » : ces gens qui assument profiter du système

« Quand il n’y aura plus d’aide on va tous chialer », à l’entendre, la profiteuse du système a le mérite de la lucidité. Dans une vidéo postée sur TikTok, une femme masquée vante les mérites du « profitage » (sic) et dit être fière de profiter du système d’aides (d'allocs) existant en France, notamment en vivant du RSA sans jamais travailler.

Pourtant, le brillant projet professionnel de la très-oisive femme à l’accent maghrébin ne s’arrête pas là : « Et y a des gens ils m’ont dit : et pour la retraite ? Mais y a la pension vieillesse hein ! Tu connais la pension vieillesse ? Bah c’est comme le RSA en fait, c’est le minimum. Et le minimum, c’est 969 euros pour ceux qui zont jamais travaillé de leur vie donc pour nouuuus, merciiii, RSAAA ». La larme à l’œil, on attend encore le « wallah ». Si la jeune femme masquée est visiblement très fière d’elle et se croit sans doute particulièrement astucieuse dans son parasitisme, elle va même jusqu’à presque rire, et s’insurger quand on lui suggère la téméraire hypothèse de travailler pour ne pas demeurer dans la pauvreté toute sa vie.

🔴⚠️ “Je ne vais pas me casser le dos à travailler pour 200€ de plus par mois !”

👉 Cette jeune femme immigrée se vante de bien vivre avec le RSA et les allocs.

👉 Rappel : la France est le pays le plus taxé du monde à cause des prestations sociales pic.twitter.com/mBJl2MmN6K

— Damien Rieu (@DamienRieu) January 12, 2024

Travailler ? Pourquoi faire si les Français s’en chargent ?

Alors que la loi immigration venait d’être votée, une vidéo a particulièrement tourné sur les réseaux sociaux. On y voyait un homme d’origine africaine se féliciter de tous les avantages que lui payaient les Français, poussant l’audace à inciter les Français à plus travailler pour que lui vive plus confortablement. Épinglé par Aurore Bergé, alors ministre des Solidarités, son dossier avait été étudié par l’office de lutte contre la fraude : de son côté, le vidéaste avait plaidé être un « provocateur pro des fachos » et avoir menti pour faire le buzz en plein projet de loi immigration.

Les contenus « provocateurs » en ce sens, on en retrouve désormais de plus en plus fréquemment sur les réseaux sociaux. Se vantant, à visage découvert pour les moins malins, de frauder au RSA (normalement conditionné à la recherche d’un emploi) ou toutes autres « allocs » de nombreuses personnes, souvent issues de l’immigration, érigent en modèle l’assistanat plus ou moins légal. La rupture du contrat social et de peuple commun est dans ce cas, à nouveau, actée.

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