Société
Un couple accusé d’avoir planifié le « sacrifice » de leur fils dans le désert du Sahara et l’écho troublant de la tragédie de la « petite martyre de l’A10 »
Deux enfances sacrifiées et une justice qui sauve ou qui se tait. L’affaire des Girondins, soupçonnés d’avoir voulu sacrifier leur fils dans le désert du Sahara, contraste violemment avec celle d’Inass, la « petite inconnue de l’A10 », dont le martyre a été découvert 31 ans après les faits. Si dans un cas, l’intervention rapide a sauvé un enfant, dans l’autre, l’omerta a permis à un crime de rester impuni pendant près de trois décennies. Ces deux récits, séparés par le temps, mais unis par la douleur, interrogent notre capacité collective à protéger les plus fragiles et invitent à une réflexion : que faire lorsque le danger pour les enfants vient de ceux censés les protéger ?
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