Immigration
Les étrangers responsables de 57 % des délits sur la voie publique dans le Rhône
Les derniers chiffres de la délinquance publiés pour l’année 2024 révèlent une situation préoccupante dans le Rhône et la métropole de Lyon. Le nombre d’homicides a explosé, les règlements de compte liés au trafic de drogue se multiplient, et la part des étrangers parmi les mis en cause atteint des niveaux records.
Une hausse de 3 % de la délinquance générale
En 2024, la délinquance dans le département a augmenté de 3 %. La préfète du Rhône, Fabienne Buccio, tempère cependant en expliquant que cette hausse s’explique en partie par une intensification du travail des forces de l’ordre : « Ce qui augmente beaucoup, ce sont les infractions révélées par l’action des services, qui progressent de 11 %. Nos policiers et gendarmes sont plus sur le terrain et font plus. »
L’un des chiffres les plus inquiétants concerne les homicides, qui ont bondi de 42,1 % en un an, avec 27 meurtres recensés dans le département. Les tentatives d’homicide ont également augmenté de 32,1 %, avec 100 cas enregistrés. La moitié de ces crimes sont directement liés au trafic de drogue, une conséquence de la lutte engagée contre les réseaux criminels : « Quand on détruit les points de drogue, que l’on interpelle des réseaux, on les déstabilise et d’autres essaient de s’approprier les lieux. C’est un combat continu. »
Par ailleurs, les amendes pour usage de stupéfiants ont progressé de 13,2 %. Une politique assumée par la préfecture, qui cible autant les trafiquants que les consommateurs : « Consommer de la drogue, ce n’est pas anodin. Ça alimente les trafics, ça cause des morts, ça entraîne des gamins dans une délinquance dont ils ne se sortiront plus. »
Une explosion de la délinquance étrangère
Les chiffres confirment une réalité de plus en plus visible : la part des étrangers parmi les mis en cause progresse. En 2024, ils représentaient 57 % des personnes impliquées dans des délits sur la voie publique, contre 51 % en 2023. Plus largement, les étrangers comptent pour 30 % de la délinquance générale du département.
La lutte contre l’immigration illégale reste un axe prioritaire pour la préfecture. L’an dernier, 3 436 OQTF (obligations de quitter le territoire français) ont été prononcées, mais seuls 18 % ont été exécutés. « Quand une personne étrangère est en prison, je n’ai aucun état d’âme, elle n’a rien à faire sur le sol français en sortant. » Cette politique a conduit à 723 placements en centre de rétention administrative (CRA), aboutissant à 632 éloignements, dont 336 de manière coercitive d'après les informations du Figaro.
La sécurité à Lyon : une gestion controversée
Lyon reste un point noir en matière de sécurité. Malgré l’augmentation des effectifs de police et les efforts de la préfecture, la situation dans la ville reste préoccupante. Les vols dans les véhicules ont progressé de 4 %, et les vols d’accessoires sur véhicules de 20,4 %, plaçant Lyon bien au-dessus de la moyenne nationale.
Face à ces chiffres, les critiques envers la mairie écologiste de Grégory Doucet se multiplient. Si le maire affirme prendre la sécurité au sérieux, les Lyonnais semblent sceptiques. 63 % des habitants interrogés dans un récent sondage Lyon Capitale se disent mécontents de sa gestion. Malgré ses engagements sur la vidéoprotection et l’armement des policiers municipaux, de nombreux observateurs estiment que les mesures prises restent insuffisantes.
Dans ce contexte, la préfecture entend poursuivre ses efforts pour lutter contre les trafics et la criminalité, mais les résultats restent incertains tant que l’exécution des OQTF et le contrôle des flux migratoires ne progressent pas.
5 commentaires
vert10
Mais Edwige Diaz députée RN n’est pas venue voir le décor de cette vieille prison française restée dans son jus. « Le but, c’est de savoir précisément quel est le nombre d’étrangers détenus ici », explique la députée. Le petit groupe a la réponse dès le début de la visite, dans les locaux de l’administration. « Fresnes abrite 1.915 détenus, dont… 887 étrangers », détaille un fonctionnaire pénitentiaire. Chiffres à fin novembre 2022, donc. Les étrangers détenus à Fresnes sont eux-mêmes issus de… 82 nationalités ! Et le nombre de doubles nationalités est inconnu. La tour de Babel échafaudée par le mondialisme se révèle là dans toute sa nudité. L’envers du discours sur l’intégration et le vivre ensemble parle de lui-même. Certaines nationalités sont mieux représentées que d’autres. En tête, les Algériens devancent en nombre les Marocains, les Tunisiens et les Roumains. La proportion d’étrangers laisse les visiteurs sans voix. « Les chiffres déconcertent, je ne m’attendais pas à cela », confie Edwige Diaz qui précise que les prisons françaises détiennent environ un quart de ressortissants étrangers en moyenne. La France abrite 72.809 détenus au 1er novembre 2022, selon le ministère de la Justice. « Ces chiffres valident notre conviction sur le lien entre immigration et délinquance, entre surpopulation carcérale et immigration », détaille la députée. Un désastre pour les Français qui subissent les méfaits d’une population criminogène venue souvent illégalement. Des Français qui payent ensuite très directement sur leurs deniers le prix de la mise hors d’état de nuire des malfrats en prison, voire le coût de leur récidive et de leur réinsertion. « Ces personnes sont accueillies aux frais du contribuable : chaque détenu coûte environ 110 euros par jour », précise Edwige Diaz. Le prix d’un hôtel de bonne tenue. Chaque mois, un détenu coûte ainsi à la collectivité quelque 3.300 euros, deux fois le SMIC mensuel brut.
Signaler un abusIrrefragable
Pourquoi faut-il absolument loger ces gens au frais du contribuable dans un "hotel de bonne tenue" ? Si on les parquait dans des cachots,ce serait déjà autre chose.
Signaler un abusSapereAude
Une solution qui peut se discuter est d'offrir aux illégaux le choix de "papillonner" (ancienne spécialité de la Guyane)... L'imagination laisse entrevoir un cachot à ciel ouvert, perdu dans une île française (à ne pas confondre avec l’Île de France), elle même perdue au milieu de l'océan, sur laquelle ils pourraient vaquer à leur propre subsidence. Si le seul désir d'un certain nombre d'individus est de profiter de la France, en la violant, en bafouant toutes ses règles, et dans la plus grande illégalité, alors voilà une destination possible, en France, d'où ils pourraient profiter de tout se qu'elle peut leur offrir en retour, c'est à dire le strict minimum. Les instances supra-nationales ne devraient pas pouvoir reprocher grand chose non plus, puisqu'ils seraient quand même accueillis en France. Et pour les détracteurs qui oseraient quand même parcourir l'océan pour mettre en œuvre un quelconque agenda politique, non seulement le coût de l'aller retour deviendrai prohibitif, mais ils prendraient aussi le risque de se taper l'une des mines sous-marine qui entourera cette île.
Signaler un abusSapereAude
Ceci étant dit, en comparant le coût exorbitant à vie de l'immigration, sachant que pour certains pays d'origine c’est un bilan négatif net, quelque soit l'age d'arrivé et tout au long de la vie (selon les statistiques ethniques de tous les pays européens qui en ont - voir Marc Vanguard sur X ), alors la France devrait accepter de systématiquement payer les 20000€ par migrant refoulé. Cela semble beaucoup, mais en calculant le coût de l’accueil, de la formation, de la justice, des avocats, des prisons, des tribunaux, des assurances, de l’insécurité, de la criminalité, etc… ça semble être un bon “deal” pour tout le monde en fait.
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