Immigration
Face à l’immigration, réagir ou périr
Que peut-on encore dire sur l’immigration ? Depuis vingt ans, le sujet est de plus en plus présent dans les discours politiques et dans les médias de notre bord, au point que nous nous sommes posé cette question : que peut-on encore dire sur l’immigration ?
La réponse ne nous est pas apparue d’un coup. Il a fallu nombre de réunions et d’appels pour enfin la trouver. Pourtant, au bout d’un moment, nous nous sommes rendu compte que tout n’avait pas été encore dit, qu’il restait des enquêtes à mener, des omertas à briser. Alors que l’immense majorité des journaux reste encore favorable à l’accueil sans réserve de tout le monde, que beaucoup de politiciens restent encore frileux, qu’une immense part de la population française s’accordent à dire « stop », il fallait lever les ambigüités.
Nous sommes tout d’abord allés à la rencontre des principaux hommes politique de la droite. Bien entendu, nous les avions déjà entendus plusieurs fois parler de quotas migratoires, de référendums, de révision de Schengen ou de l’accord franco-algérien de 1968. Pourtant, tout cela manquait encore parfois de clarté : d’accord sur les moyens, mais quel est l’objectif à terme ? Nous sommes allés le leur demander.
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Un phénomène plus large que l'immigration
L’immigration est un phénomène qui a ses complices. Associations, instances judiciaires, institutions étatiques : nous avons découvert qu’il existe un véritable système qui concourt à faire venir, ou à aider sur place, des dizaines de milliers de migrants issus d’autres cultures, d’autres religions.
L’un de ces pays de départ, c’est l’Algérie. Ancien département français, elle partage une histoire unique avec nous, aujourd’hui dominée par un ressentiment post-colonial venant de l’autre côté de la Méditerranée. Cependant, depuis plus d’un demi-siècle maintenant, des accords favorisant particulièrement l’immigration et l’accès à la nationalité nous lient encore, comme une très longue repentance d’un péché mortel. Un homme a osé s’attaquer au sujet il y a quelques mois : Xavier Driencourt. Ancien ambassadeur de France à Alger, il a accepté de nous rejoindre afin de dénoncer un traité plus qu’obsolète.
Notre voyage nous a ensuite emmenés sur les routes de l’immigration. Le constat était simple : nous ne voyons de l’immigration que ses effets, mais qui s’est intéressé à ses causes et ses moyens ? Autrement dit, outre les médias de gauche qui n’ont de cesse d’écrire de façon larmoyante sur les morts en Méditerranée, qui s’intéresse aujourd’hui aux pays d’émigration, aux routes empruntées ? Par des reportages de terrain aux quatre coins de l’Europe et d’ailleurs, de la Grèce au Maroc, des Balkans à la Guyane, nous sommes allés à la rencontre de ces peuples errants à la recherche du mirage européen.
Alors, après avoir étudié les causes profondes du sujet, reste à y apporter une réponse. Résister face à la menace migratoire est un défi de tous les jours qui s’ancre dans tous les recoins de la société : école, droits sociaux, système de répartition, rue, prisons et mosquées, aucun n’endroit n’est épargné. Si effectivement nous souhaitons que la France demeure elle-même, il lui faut se réapproprier son espace public.
Nombreux sont ceux que nous avons consulté : experts, anciens membres de la haute-administration, responsables politiques et élus locaux… Pourtant, malgré la diversité de leurs parcours, tous partagent le même constat : face à l’immigration, il faut réagir, ou périr.
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