Société
Le collectif Némésis dépose un rapport pour demander la dissolution de la Jeune Garde
La Jeune Garde, groupuscule antifasciste violent présent sur tout le territoire français, ferait bien de s’inquiéter pour la survie de ses actions brutales et illégales. Ce samedi soir, dans l’émission l’Heure des Pros sur CNews, la présidente du Collectif Némésis, Alice Cordier, a officiellement annoncé demander sa dissolution auprès du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.
La Jeune Garde : l’extrême gauche violente impunie
On ne compte plus le nombre d’actions violentes initiées par la Jeune Garde. Association prétendument antifasciste, elle s’imagine lutter contre une imaginaire menace brune, et s’est fait une spécialité d’employer la violence pour son combat politique.
Militants des syndicats étudiants l’UNI ou de la Cocarde, macronistes tabassés, menaces de mort à l’encontre d’Alice Cordier, combats de rues ultraviolents avec des groupuscules d’extrême droite… À Strasbourg, Lyon ou partout en France, on ne compte plus les actes de brutalité extrême commis par les sbires de Raphaël Arnault, désormais député LFI.
Alice Cordier demande la dissolution du groupe
« J’ai constitué un important rapport avec des faits, exactions et condamnations de la Jeune Garde depuis deux à trois ans. », explique Alice Cordier. « Je l’ai rédigé en collaboration avec l’UNI, la Cocarde et le MEJF cet été en prévision de l’élection de Raphaël Arnault. Mon objectif est de déposer ce rapport au ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau afin de lui fournir tous les éléments nécessaires pour dissoudre la Jeune Garde. »
La présidente du Collectif Némésis a annoncé cette demande de dissolution sur l’émission L’Heure des Pros sur CNews.
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1 commentaire
Bitter red pill
Ils sont le germes du terrorisme. L’ADN du gauchisme. Les antifas sont simplement des terroristes renommés.
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