Menaces de mort par des islamistes : le quotidien de Frontières

Chers amis, Ces dernières semaines, Frontières a fait face à de multiples menaces. Récemment, j’ai reçu la visite de quatre gendarmes à mon domicile, suite à une alerte Pharos, car un islamiste expliquait qu’il y allait avoir une « Charlie » dans nos bureaux. Dans le même temps, les attaques ont continué. Notamment par message où un autre islamiste a promis de venir me retrouver devant CNews, de me violenter et de me séquestrer. Des plaintes ont été évidemment déposées. Mais notre situation ne se limite pas à mon cas personnel : notre journaliste Pauline Condomines reçoit également des menaces de mort répétées sur son téléphone depuis son infiltration dans des groupes d’extrême gauche. Et des mesures de sécurité ont ainsi dû être mises en place. 

En plus des menaces, les tentatives de nous faire taire s'accumulent. Il y a trois semaines, j’ai été convoqué à la porte de Clichy en tant que directeur de publication pour répondre à une plainte portée par SOS Racisme lors d’un procès concernant des propos tenus par Marguerite Stern. Sur notre fauteuil rouge, elle avait établi un lien entre immigration et délinquance avec des chiffres officiels, ce que SOS racisme n’a pas supporté. À cela s'ajoute l'action d'un militant de l'UNEF, vice-président de l’Université de Toulouse, qui prévoit de porter plainte contre notre média, ainsi que d'autres menaces que nous recevons régulièrement, sans parler de mon procès en fin d’année face à l’ex-CCIF. 

Frontières : vous nous connaissez bien, nous ne fléchirons pas. 

Cependant, face à ces attaques répétées, il est crucial pour nous de consolider notre base d'abonnés afin de garantir notre pérennité. Nous comptons actuellement 4 000 abonnés payants, et notre objectif est d'atteindre les 5 000. Ce chiffre est largement envisageable, mais cela ne dépend que de vous. En vous procurant cet abonnement Frontières, vous avez la possibilité de le défiscaliser avec un abattement à 30 %.

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Menaces de mort par des islamistes : nos révélations sur le quotidien de Frontières (vidéo Youtube)

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Erik Tegnér