Société
[Édito] Justice : quand le rouge domine chez les juges
Dans cet édito percutant, Garen Shnorokian revient sur de récents faits divers tragiques et dénonce les décisions des juges influencées par des militants politiques de gauche.
En général, si les gens les appellent les juges rouges, c’est pour leurs idées politiques d’extrême gauche. Moi, c’est pour la couleur du sang des Français qu’ils ont sur les mains.
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Une idéologie inscrite noir sur blanc dans l’un des textes fondateurs du Syndicat de la magistrature, écrit par Oswald Baudot : « Soyez partiaux […] Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice. »
Un jour, un jeune juge me raconta comment il fut alpagué par le président du tribunal dans un couloir pour avoir commis un crime de lèse-majesté : avoir appliqué la loi de façon impartiale. « Vous faites du zèle parce que vous venez d’arriver ? » lui a alors demandé le président, sous-entendant que s’il voulait de l’avancement, il devait ralentir sur les condamnations.
C’est cette idéologie mortifère qui toujours profite aux criminels contre les victimes, aux immigrés contre les nationaux, qui fait couler le sang des Français sur l’autel de l’extrême gauche.
Des faits de moins en moins divers
Louis Antonio Mendez Vaz, 39 ans, de nationalité capverdienne, a commencé sa carrière en France en 2006 avec une procédure pour violence, puis pour outrages, puis pour violences. Il est ensuite mis en cause pour délit de fuite, puis à nouveau pour violences et outrages sur policiers, rébellion, violences et port d’arme prohibé ; dix condamnations à son casier judiciaire ! L’État français, pour le remercier pour son apport inestimable à la Nation, lui délivra une carte de séjour provisoire en 2022. Le 26 août 2024, il fauche et tue le gendarme Éric Comyn en refusant un contrôle routier.
La femme du gendarme, Harmonie Comyn, a déclaré : « Je l’affirme haut et fort, la France a tué mon mari par son insuffisance, son laxisme et son excès de tolérance. » Espérons maintenant qu’elle ne soit pas condamnée pour incitation à la haine.
En mai 2021, Mounir sortait d’un an de prison pour violence sur sa femme. Une fois purgée sa peine ridiculement faible au vu de son casier judiciaire, sept condamnations, il est allé tabasser cette dernière, qui porta à nouveau plainte. La justice ne considérant pas cette agression comme une urgence, elle sera assassinée par Mounir quelques semaines plus tard, brûlée vive dans la rue.
Les juges condamnent à mort, mais seulement les innocents
En mars 2015, Adel Kermiche tenta de rejoindre l’État islamique en Syrie. Il fut placé sous contrôle judiciaire chez ses parents. Le 11 mai, il tenta à nouveau de partir pour défendre son idéologie. Cet homme déterminé à rejoindre le djihad international de l’EI est relâché après dix mois de détention provisoire. La juge d’instruction considéra qu’il avait « pris conscience de ses erreurs » et qu’il était « déterminé à entamer des démarches d’insertion ». Il est alors mis sous contrôle judiciaire, assigné à résidence avec un bracelet électronique, autorisé à sortir de son domicile entre 8 h 30 et 12 h 30. Il égorgea le père Hamel à 9 h 30. Les derniers mots du prêtre furent : « Satan, va-t’en ! Va-t’en, Satan. »
Mathis, 15 ans, apprenti cuisinier, vivait une vie normale dans une ville normale jusqu’au 27 avril dernier, où il croisa le chemin de Rahman, un Afghan du même âge que lui qui, une semaine auparavant, s’était encore fait arrêter, cette fois pour vol aggravé avec violence. Un casier normal, pour un jeune Afghan normal, dans un pays normal.
Quatre coups de couteau plus tard, Mathis baignait dans son sang, une mort morale pour une nation morale. Un mineur, de surcroît étranger, est sacré dans ce pays, surtout s’il est « bien connu de la justice ».
À chaque crime ou délit, les politiques promettent plus de lois, plus de peines, et toujours moins de liberté pour les gens honnêtes. Richelieu disait : « Faire une loi et ne pas la faire exécuter, c’est autoriser la chose qu’on veut défendre. »
Si la destruction des libertés est bien appliquée, les juges rouges se fichent bien des multiplications législatives contre les criminels, car ils ne sont pas là pour appliquer la loi, mais pour l’interpréter, l’interpréter à la lueur de leur idéologie rouge, rouge comme le sang qu’ils ont sur les mains.
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