FRONTIÈRES #2
Une terre, deux peuples : vers la guerre civile en France ? le deuxième magazine de Frontières est encore disponible à la vente !
Depuis les émeutes de juin dernier, la France a basculé dans une nouvelle phase de violence. Avec les pillages, la haine anti-police, la France a découvert que le mal ne rongeait plus uniquement les banlieues du 93 ou de Marseille, mais touchait désormais de nombreuses petites villes réparties sur le territoire.
Fruit de quarante années d’immigration massive, notre société avait produit de jeunes racailles de nationalité française, qui firent de la haine de la France un moteur. Cette haine, cette deuxième société, a causé de nombreux morts, dont celle plus récente de Thomas, frappé dans le petit village de Crépol par une bande de « jeunes de cité » comme on dit.
Qui est ce deuxième peuple dont nous parlons en couverture ? Car le premier, personne n’en doute, est celui qui peuple les terres gauloises depuis des millénaires, qui vécut la défaite de Vercingétorix, le baptême de Clovis, la Guerre de Cent Ans, la construction de Versailles et l’épopée impériale. Or, depuis maintenant trois-quarts de siècle, ce peuple disparaît et un autre le remplace, le « grand-remplace » selon une expression devenue courante.
Alors, quel est ce deuxième peuple ? Venu par bateau ou par avion, principalement de l’autre côté de la Méditerranée, il est le produit de l’immigration, de ce phénomène de « Grand Déplacement » dont nous parlions dans notre premier magazine. Il est artificiel : c’est un agrégat contre-nature de pays aux religions différentes, avec leurs mœurs et leurs rancœurs.
Ce deuxième peuple s’est formé d’abord autour d’une condition : la misère, le parcage dans des cités de béton, le « rêve français » des Trente Glorieuses. Puis, dans cet entre-soi, cette association de fait sont nées des causes.
Il y a eu d’abord les revendications sociales. Ensuite, la colonisation qui induisit le chantage mémoriel. Ayant compris le profond souci du faible des Français, ils se firent victimes : s’opposer à eux, c’était les oppresser, être raciste. Le péché originel français est depuis impardonnable.
Fidèles à notre promesse, nous nous sommes rendus sur le terrain : au Londonistan, à Roubaix, dans les prisons et les quartiers nord de Marseille, aux Pays-Bas et à Crépol avec un objectif : voir ce deuxième peuple.
Nous avons aussi fait appel à des experts de la sécurité, des renseignements intérieurs et de l’armée pour recueillir leur avis : l’affrontement est-il possible ? Si oui, comment se déroulerait-il ?
Qui sont les razzieurs ? Comment subsiste ce deuxième peuple ? Quels sont ses objectifs ? Ses failles ?