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Barack Obama compare Donald Trump à Fidel Castro
L’ancien président américain, très populaire chez les Démocrates, était en campagne pour relancer la candidate Kamala Harris.
Le 10 octobre, l’ancien président des États-Unis Barack Obama était à Pittsburgh, en Pennsylvanie, afin de donner un nouvel élan à la campagne de Kamala Harris.
Barack Obama compare Donald Trump à Fidel Castro
Alors que les sondages sont extrêmement serrés, l’ancien président démocrate extrêmement populaire auprès de la base du parti de l’âne, a multiplié les attaques contre Donald Trump. Devant une salle acquise à ses idées, Barack Obama a comparé le candidat républicain au dictateur cubain Fidel Castro « C’est comme Fidel Castro, ça continue encore et encore, des tentatives permanentes de vous vendre des trucs. Qui fait ça ? Il vous vend des baskets dorées et des montres à 100 000 dollars et, plus récemment, une bible Trump. Il veut que vous achetiez la parole de Dieu aux éditions Trump ».
Le 44ᵉ président des États-Unis a ainsi dénoncé les différents produits dérivés de Donald Trump qui servent au financement de la campagne électorale. Le choix de Pittsburgh n’est pas anodin, puisque la ville se situe en Pennsylvanie, un État d’une importance capitale dans ce scrutin. Après une certaine dynamique dans les sondages, la candidate démocrate peine à creuser l’écart avec le candidat républicain. De ce fait, Barack Obama est un atout majeur pour relancer l’engouement autour de la campagne démocrate.
La division de l’Amérique
L’ancien président a aussi attaqué Donald Trump sur sa rhétorique. Pour lui, le candidat républicain est à la racine de la division du peuple américain « Il veut nous faire croire que ce pays est désespérément divisé entre eux et nous, entre les « vrais Américains » qui le soutiennent et ceux de l’extérieur, qui ne le soutiennent pas. Parce qu’il pense que garder les gens divisés et en colère accroît ses chances d’être élu. Nous n’avons pas besoin de quatre années supplémentaires d’arrogance, d’inepties, de vantardise et de divisions. L’Amérique est prê
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