Immigration
Procès Stern – Frontières : notre seule défense sera la vérité !
Après le CCIF – organisation islamiste dissoute par Gérald Darmanin – l’UNEF, l’organisation antifa La Jeune Garde, les avocats d’émeutiers de la Courneuve et divers délinquants en tous genres, c’est au tour de SOS Racisme d’intenter un énième procès à Marguerite Stern, à Frontières, et à moi-même comme directeur de publication.
Je serai ainsi convoqué devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel, ce 11 décembre, pour « injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion » . À mes côtés, la féministe Marguerite Stern, connue pour être une Femen repentie. En cause ? Les propos qu’elle a tenus dans notre média en juillet 2023. Après nous avoir auditionnés, la justice aura donc jugé la plainte de SOS Racisme recevable. Comme directeur de la publication du média qui lui a tendu le micro, je suis aussi tenu pour responsable : procédure bâillon qui pousse tous les journalistes aujourd’hui à sélectionner leurs invités ou à prendre mille précautions avant de leur donner la parole. Encore une aberration de notre beau pays de la liberté d’expression et des Droits de l’Homme.
Sauf que cette fois-ci, et comme je l’ai affirmé lors de mon audition à la police judiciaire début mai, je n’ai aucun problème avec les propos tenus par mon invitée ; au contraire, et je vais vous expliquer ici pourquoi.
« Proportionnellement, les personnes issues de l’immigration […] africaine et moyen-orientale […] agressent plus les femmes que les Français de culture française » : voilà la phrase incriminée par SOS racisme et qu’aura à juger la XVIIe chambre. Mais alors, avait-elle raison ? Que disent les chiffres ? Reprenons-les point par point.
Tout d’abord, des chiffres, il en existe. Ils ont été publiés par le Service Statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSM SI) dans un document intitulé « Insécurité et délinquance en 2023 : une première photographie ».
Établie à partir des faits de délinquance enregistrés par la police et la gendarmerie nationales, cette étude voulait offrir une visibilité aux grandes tendances en matière d’insécurité. En préambule de ce rapport, le service statistique précise dès sa synthèse que les mis en cause sont « en moye
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1 commentaire
user_q5oxZQsC
SOS racisme on sait aussi qui ils sont … font partie du système qui envenime et mentent .
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