1,4 million d’immigrés illégaux n’ont pas été expulsés sous Biden

Des Américains innocents sont morts à cause du laxisme de Joe Biden sur la question de l’immigration illégale. Le débat sur ce dossier aux États-Unis a pris une tournure tragique avec plusieurs meurtres de citoyens américains imputés à des immigrants illégaux, tandis que plus de 1.4 million d’individus ont évité des ordres de déportation, révélant les failles du système migratoire actuel.

Les échecs de la politique migratoire de Biden

Plus de 1.4 million d’immigrants illégaux restent aux États-Unis malgré des ordres de déportation formels, ce qui souligne l’approche irresponsable de l’administration Biden face à la crise migratoire. Selon Steven Camarota du Center of Immigration Studies, seulement 13,000 immigrés clandestins sont actuellement incarcérés. La situation a été aggravée par un afflux massif d’immigrants illégaux, porté à 11.7 millions en juillet 2023, selon le Center of Migration Studies of New York. Le mandat de Joe Biden a été celui de tous les records sur les afflux de migrants à la frontière mexicaine. Donald Trump a fait campagne sur cette thématique en promettant une tolérance zéro.

Les meurtres de citoyens comme Laken Riley, Lizbeth Medina, Jocelyn Nungaray et Rachel Morin par des immigrants illégaux, ont semé la peur et l’inquiétude dans la société américaine.  L’administration Biden a été critiquée pour sa gestion de la frontière, permettant à des millions d’entrées illégales sans une stratégie de déportation efficace.

Renforcer la loi et l’ordre

Steven Camarota suggère que la première étape logique serait de se concentrer sur les  immigrés clandestins qui font l’objet d’un ordre de déportation. Brandon Judd, ancien chef du Conseil des patrouilles frontalières, insiste sur l’importance de stopper l’afflux à la frontière dès maintenant. Il propose des procédures d’asile et de déportation immédiates pour les nouveaux arrivants, adoptant une politique migratoire stricte.  Il souligne également l’importance de législations qui élimineraient les villes sanctuaires et obligeraient une meilleure coopération entre les forces de l’ordre locales et fédérales.

Ces mesures pourraient non seulement réduire le nombre d’immigrants illégaux, mais aussi encourager un retour volontaire vers les pays d’origine. Camarota et Judd conviennent que, sans une politique de frontière stricte et sans des lois claires de la part du Congrès, la situation ne s’améliorera pas. Le retour au pouvoir de Donald Trump va être l’occasion pour le gouvernement de s’attaquer à ce fléau.

 

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