Société
« Voyage en Belgiquistan » : la une choc du prochain Figaro Magazine sur l'Islamisme et le wokisme en Belgique

Dans son édition de ce vendredi 21 mars, Le Figaro Magazine, supplément hebdomadaire du quotidien français Le Figaro, consacre un dossier de huit pages à la Belgique, intitulé « Voyage en Belgiquistan : comment l’islam s’est imposé en Belgique ». Signé par les journalistes Nadjet Cherigui et Judith Waintraub, ce portrait dénonce ce que le magazine perçoit comme une société belge « coincée entre wokisme et islamisme ».
Le dossier dépeint alors Bruxelles, qualifiée de « capitale de l’Europe », comme une ville en proie à un communautarisme et un islamisme « ostentatoires ». Les quartiers de Schaerbeek et Molenbeek sont particulièrement visés, avec des descriptions de la rue de Brabant, associée à la communauté musulmane, et de la rue d’Aerschot, connue pour ses travailleurs du sexe. Ces lieux sont présentés comme des zones aux « locaux délabrés et sales », où l’appel à la prière est invasif. Le magazine évoque une « économie islamique » en expansion et affirme que de très jeunes filles y apprendraient à porter le voile. Il mentionne également le Collectif contre l’islamophobie en Europe (CCIE), successeur du CCIF dissous en France, qui aurait trouvé refuge en Belgique.
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3 commentaires
vert10
Le nombre , le nombre dit Zemmour. Céline Pina parle du futur 1er califat européen.
vert10
40% du revenu d’intégration payé en Belgique est versé à des non-Belges. Plus de 40 (44,2) pour cent des migrants venant de l’extérieur de l’UE ne travaillent pas et n’ont pas l’intention de le faire. Aucun pays de l’UE ne fait pire. C’est ce que le professeur Stijn Baert (UGent) explique à Business AM. Pour combler le déficit budgétaire, le gouvernement belge cherche des recettes. Plus il y a de travailleurs, plus les recettes du Trésor public augmentent. Mais c’est là que le bât blesse : le gouvernement n’incite pas les gens à travailler. Stijn Baert est professeur d’économie du travail à l’université de Gand. Stories@Ugent@Work a mené des recherches sur l’inactivité des migrants. « Pendant très longtemps, la politique s’est concentrée à ce que les demandeurs d’emploi, c’est-à-dire des personnes qui n’ont pas d’emploi mais qui en cherchent un, s’activent », explique Baert. « Mais un groupe beaucoup plus important, les inactifs, a été complètement laissé de côté. On peut comparer cela à un iceberg, dont la partie visible est constituée par les demandeurs d’emploi, mais dont la masse sous la ligne de flottaison est constituée par les inactifs« . « Parmi les personnes issues de l’immigration, nous constatons une inactivité gigantesque », affirme Baert. « Il n’existe aucun pays de l’UE où l’inactivité des migrants est aussi élevée. On sait en grande partie qui sont ces personnes. Il y a aussi des personnes dans l’illégalité, mais elles ne sont pas prises en compte dans les statistiques. Il y a des problèmes de discrimination, mais ils ne sont pas plus élevés que dans d’autres pays. » La politique migratoire est ainsi également responsable : « Au Danemark, davantage de personnes viennent pour travailler ou étudier. Les migrants qui viennent dans notre pays viennent principalement pour fuir leur pays ou dans le cadre d’un regroupement familial. La recherche scientifique nous apprend que les flux que nous attirons en Belgique sont beaucoup moins performants sur le marché du travail. Nous nous trouvons donc dans un cercle vicieux ».
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