Société
[Contrenquête] Les dérapages les plus outranciers de Thomas Guénolé (1/2)
Tentant à tout prix de se racheter une conscience auprès de la gauche, l’ex-LFI Thomas Guénolé multiplie les outrances dans les médias sans s’embarrasser de la moindre réflexion.
Raser le Sacré-Cœur, interdire le RN, antifascisme de pacotille et négation des violences liées à l’immigration : l’ancien politologue insoumis Thomas Guénolé s’est fait une spécialité de verser dans l’outrance, souvent sans fondement, pour choquer la droite et se racheter une popularité à gauche. Retour sur les polémiques les plus absurdes.
Raser le Sacré-Cœur : la brillante idée de Thomas Guénolé
On connaissait Jean-Michel Apathie qui voulait raser le château de Versailles, « pour que nous n’allions pas là-bas cultiver la grandeur de la France ». Nous avons désormais sa nouvelle version : Thomas Guénolé qui veut raser le Sacré-Cœur qu’il associe à « une merde meringuée géante […] détestable d’un point de vue architectural ». Il affirme également en ce mardi 22 octobre que « Le Sacré-Cœur a été construit pour expier les péchés des Communards de Paris ».
Or, à défaut de s’acheter un goût, des yeux, un cœur ou une décence, Thomas Guénolé n’aurait sans doute pas perdu quelques minutes de son temps à se documenter sur la question. De fait, si la construction du Sacré-Cœur a bien débuté après la Commune de Paris – admirable événement d’un peuple patriote face à la bourgeoisie capitularde – il faut rappeler que le projet date lui d’avant la Commune. De fait, l’association entre le Sacré-Cœur et la Commune n’a été réalisée qu’a posteriori.
Interdire le RN
Interdire le Rassemblement national est ce qu’on appelle un marronnier. De temps à autre, quand la période s’y prête, que le temps est un peu plus froid ou que le parti à la flamme monte dans les sondages, un pseudo-intellectuel de gauche le propose.
« C’est prévu par le Code de sécurité intérieure, l’article L212-1, qui donne des motifs d’interdiction. Et le 6ᵉ, c’est quand vous propagez des idées qui provoquent à la discrimination et à la haine, en l’occurrenc
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