Société
« Complément d’enquête » sur le lycée Stanislas : quand le service public crie haro sur les cathos
Le lycée Stanislas, le meilleur de France, a été visé par un Complément d’enquête de France 2 hier soir, qui n’a visiblement rien de mieux à faire que de taper sur les catholiques qui produisent l’élite de la nation.
Intitulé « les dérives d’une école d’excellence », le Complément d’enquête de France 2 sorti ce jeudi 10 octobre passe une bonne heure et demie à s’attaquer au meilleur établissement du pays – le tout presque sans contradictoire. Débunkage d’un étalage de mauvaise foi.
Prendre très vite le parti de la gauche
Au fond, tout au long du reportage de 90 minutes, qu’est-il reproché au lycée Stanislas ? D’être catholique. « Traditionnaliste » ; « anti-LGBT », « ultra-conservateur » avec des « prêtres royalistes », promoteur d’une « fierté catholique » : Stanislas cumule toutes les tares pour un service public passé à gauche. On attend encore le Complément d’enquête sur les lycées Averroès et autres établissements musulmans privés de France dans lesquels on ne doute pas qu’on ne retrouvera ni traditionalisme, ni fierté musulmane, ni discours « anti-LGBT », ni radicalité aucune.
Nouvelle séquence, tout aussi lunaire, dans laquelle France 2 rappelle la polémique survenue il y a quelques mois autour de Stanislas et de la scolarisation des enfants d’Amélie Oudéa-Castéra. L’émission affirme ensuite que « la droite et la gauche s’écharpent »…avant de prendre en une demi-seconde très clairement le parti de la gauche. Merveilleux.
De très longs passages sur l’homophobie
Pour Complément d’enquête, le sujet le plus important autour de l’école n’est certainement pas de connaître ses méthodes pour devenir le meilleur lycée de France. Non, ce dont il faut absolument parler avant toute chose, c’est de « l’homophobie » qui règnerait. Règnerait-elle, d’ailleurs, « de manière systémique » à Stanislas, dixit la journaliste, en interviewant le nouveau ministre de la laïcité Othman Nasrou ?
Autre reproche, que dis-je, crime commis par l’école selon Complément d’enquête : son opposit
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