Société
Info Frontières : Un policier blessé après la manifestation féministe du 8 mars à Paris

Dans la nuit suivant la manifestation féministe du 8 mars à Paris, un policier a été blessé lors d’une intervention.
Des violences après la dispersion du cortège
L’agent, atteint à l’arrière du crâne par un projectile, a nécessité trois points de suture. Un second policier a également été blessé après avoir reçu une canette au visage. Une enquête est en cours et un individu a été placé en garde à vue.
Une intervention qui dégénère
Les faits se sont déroulés dans la nuit de samedi à dimanche, après la fin du cortège, aux abords de la gare Montparnasse, où un groupe d’individus, décrits comme alcoolisés, occupait le parvis. Alertées pour des dégradations et des inscriptions sur les murs, les forces de l’ordre ont tenté de disperser le groupe. Certains individus se sont réfugiés dans un sous-sol, avant de bloquer une issue avec des blocs de béton pour empêcher les policiers d’y accéder.
L’intervention a alors pris un tour plus violent. Un policier a été violemment frappé à la tête avec une bouteille en verre, provoquant une plaie saignante nécessitant plusieurs points de suture. Un autre fonctionnaire a été touché par un jet de canette alors qu’il tentait de maîtriser un individu. Les forces de l’ordre ont dû demander du renfort face à la tension grandissante.
Des interpellations et des gardes à vue
Face aux débordements, plusieurs suspects ont été interpellés et placés en garde à vue pour violences sur personne dépositaire de l’autorité publique, outrage et rébellion. Parmi eux, un homme identifié pour avoir lancé une bouteille sur un agent a été rapidement maîtrisé après une intervention musclée. L’un des policiers blessés a dû être pris en charge à l’hôpital.
Un climat tendu en marge de la manifestation
La manifestation féministe de la journée du 8 mars à Paris avait déjà été marquée par des tensions, notamment avec la présence contestée du collectif Némésis, qui avait provoqué des heurts avec des militants d’extrême gauche. En fin de cortège, des échauffourées avaient éclaté et les forces de l’ordre avaient dû faire usage de gaz lacrymogène pour disperser certains groupes.
L’enquête est en cours pour identifier d’autres responsables des violences contre les forces de l’ordre.

3 commentaires
Moun 28
L’extrême gauche dans toute sa splendeur et apres ils diront que c’est le RN qui esr dangereux !!
Signaler un abusvert10
Euh , la manifestation passait entre République Nation . A mille lieue de la gare Montparnasse
Signaler un abusRoswel
Aahhh..Ces dangereux extrémistes des heures les plus sombres..C'est pas comme les Bisounours du bien, respectueux de la différence d'opinion tant qu'elle épouse leur idéologie totalitaire..Quand les fdo en auront assez de servir de viande hachée et qu'ils déposerons les armes, feront la grève du zèle on verra bien si tout le monde déteste la police, la réaction apeurée de la bobologie pastèque 🍉
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