Immigration
Le média d'extrême-gauche StreetPress contraint de quitter ses locaux à cause de l'installation de migrants

StreetPress a annoncé ce mercredi 5 mars son départ forcé de la Gaîté Lyrique, où il était installé. Cette décision fait suite à l’occupation du théâtre par plusieurs centaines de migrants depuis le 10 décembre dernier, une situation qui a entraîné la fermeture de l’espace culturel.
Le 10 décembre, près de 250 migrants du Collectif des jeunes du parc de Belleville ont investi la Gaîté Lyrique, où StreetPress avait ses bureaux. La directrice de l'établissement, Juliette Donadieu, a refusé l'expulsion proposée par la préfecture, estimant qu'il était inconcevable de mettre ces jeunes à la rue en plein hiver. Cette position a été soutenue par StreetPress.
Un établissement culturel à l'arrêt
Tandis que l’occupation se poursuit, la Gaîté Lyrique suspend ses activités publiques : plus de concerts, d'expositions ou de conférences. Près de 80 salariés sont placés en chômage partiel, subissant une perte de salaire. StreetPress, bien que solidaire, doit annuler certains événements, mais parvient à poursuivre ses activités. Toutefois, le lieu s’avère inadapté à une telle occupation : absence de douches, seulement deux points d’eau et une surface trop restreinte. Au fil des jours, la situation se dégrade. Chaque soir, le nombre de réfugiés augmenterait, d'après un mail de Mathieu Molard, co-rédacteur en chef de StreetPress.
Face à cette situation, la direction de la Gaîté Lyrique a annoncé à la mairie de Paris que si aucun accord n'est trouvé avant le 28 février, elle suspendra la convention qui la lie à la Ville. Après de longues négociations, la mairie a accepté de prendre en charge la sécurité du bâtiment, mais a refusé d'apporter une solution aux migrants en situation irrégulière.
Un « déménagement dans l'urgence »
Le média financé par l'Open Society Foundations de George Soros, a dû quitter les lieux en urgence, après avoir appris qu’il avait 48 heures pour trouver un nouveau local, faire ses cartons et partir. Il a pu sous-louer des bureaux grâce à une association parisienne et stocker une partie de son matériel. Ce déménagement a entraîné plusieurs milliers d’euros de frais imprévus, une situation qui pousse StreetPress à solliciter l’aide de ses lecteurs pour faire face à cette situation qu'il ont pourtant soutenu.
9 commentaires
Chimiste78
L’extreme gauche confrontée à la réalité…..Toujours à prendre la defense des migrants…..Un petit commentaire des gauchistes serait le bienvenu…Et oui chez les autres c’est toujours bien, mais quand on commence à être touché, c’est une autre histoire….
Signaler un abusJack
George Soros, le grand copain à Macron, doit faire la tête. L'extrême gauche qui déteste les migrants, je n'en reviens pas'
Signaler un abusvert10
Marrant .. que ces journaleux que personne n'en lit . Prennent ces clandestins chez eux . Au moins avoir le courage d'assumer. La place de ces clandestins est dans leurs ambassades respectives africaines sises dans le 16ème arrondissement de Paris
Signaler un abusLibrefiere
Tellement drôle ! Ils ont peur de quoi ces traîtres ? Ils sont pas gentils les clandos?
Signaler un abusiletudy78@gmail.com
Pourquoi ne pas appliquer le vivre ensemble que ces gauchistes nous imposent?!
Signaler un abusCes journaleux gauchiasse n'ont qu'à s'installer chez Melanchon.
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