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Donald Trump se défend d’être un « nazi »
Les démocrates désespérés par le manque de dynamique dans les sondages souhaitent discréditer Donald Trump en qualifiant ce dernier de « nazi ». Le candidat républicain s’est défendu lors d’un meeting.
Le candidat républicain Donald Trump a souhaité se défendre des accusations mensongères des démocrates qui le qualifient d’être un « nazi » afin de le discréditer dans un scrutin extrêmement serré.
Trump : « Je suis le contraire d’un nazi »
Lors d’un meeting à Atlanta le 28 octobre, Donald Trump a fermement rejeté les accusations le qualifiant de « nazi », affirmant : « Je ne suis pas un nazi, je suis le contraire d’un nazi ». Ces commentaires sont survenus après que Kamala Harris ait insinué que ceux qui ne soutiennent pas sa campagne sont comparables à des « nazis ». Trump a souligné que ce genre de rhétorique n’est rien d’autre qu’une tentative désespérée des démocrates pour discréditer son mouvement.
Les attaques se sont intensifiées ces derniers jours, notamment avec des accusations de fascisme formulées par John Kelly, ancien chef de cabinet de Trump. Pourtant, cette affirmation semble plus relever d’une forme d’indécence que d’une véritable analyse politique objective.
Les déclarations controversées d’un humoriste lors d’un meeting à New York ont également été utilisées par les opposants de Trump pour alimenter la polémique, malgré le fait que ses porte-parole aient clairement affirmé que ces propos ne reflètent pas les opinions du président. De plus, Donald Trump est ouvertement pro-Israël dans le cadre du conflit au Proche-Orient.
La stratégie d’Harris
La candidate démocrate, Kamala Harris, exploite ces controverses pour se positionner comme la candidate modérée du scrutin, face au candidat républicain souvent qualifié de « dangereux » par le parti de l’âne. Donald Trump s’efforce de reconquérir des États cruciaux, comme la Géorgie, où il a perdu par une faible marge en 2020 dans son duel contre Joe Biden.
Les sondages montrent un paysage électoral serré, avec plus de 47 millions d’Américains ayant déjà voté, renforçant l’idée que cette élection pourrait être la plus disputée de l’histoire moderne des États-Unis. Trump, de son côté, reste déterminé à faire entendre sa voix et à mettre en avant son programme ambitieux pour l’Amérique, comprenant des mesures strictes contre l’immigration illégale à la frontière mexicaine et des promesses de mettre fin à l’influence des « ennemis de l’intérieur ».
La dynamique de la campagne présidentielle est plus que jamais électrique, et alors que la tension monte, Trump continue de galvaniser ses partisans en faisant valoir son engagement envers une Amérique forte et unie.
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