International
L’Iran veut la mort de Trump selon les renseignements américains
C’est un nouveau rapport explosif des renseignements américains. Pour eux, de nombreuses puissances étrangères vont vouloir manipuler le scrutin de novembre prochain. De plus, Donald Trump demeure une cible à éliminer pour l’Iran.
Un nouveau rapport des renseignements américains s’inquiète du risque de subversion de puissances étrangères lors des prochaines élections américaines. De plus, l’Iran souhaite la mort de Donald Trump, même s’il perd le scrutin de novembre.
Trump : une cible de l’Iran
La chaîne d’information conservatrice Fox New a dévoilé un rapport des services de renseignements américains. Ces derniers s’inquiètent du risque très important de subversion menée par des puissances étrangères par rapport aux prochaines élections de novembre. C’est le Bureau du directeur du renseignement national qui tire la sonnette d’alarme, notamment en ce qui concerne les dangers qui planent sur le candidat républicain Donald Trump.
En effet, selon le rapport : « les efforts de l’Iran pour assassiner l’ancien président Donald Trump et d’autres anciens responsables américains vont se poursuivre après la fin du vote, quel que soit le résultat ». Le régime iranien souhaite en effet éliminer Donald Trump ainsi que l’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo et le général Kenneth McKenzie. En effet, le gouvernement des Mollahs souhaite se venger de la mort du général Qassem Soleimani, éliminé par une frappe de drone américaine. Les services de renseignements avaient déjà dévoilé la volonté de l’Iran en septembre dernier.
Pour le moment, il n’y a aucune preuve entre les deux précédentes tentatives d’assassinats contre Donald Trump et les services iraniens. Il est fort probable que ces derniers attendent le meilleur moment pour frapper le candidat républicain. Cependant, si Donald Trump gagne les élections, il bénéficiera d’une sécurité renforcée.
Téhéran et Moscou misent sur la présidentielle
Le rapport affirme également que des puissances étrangères misent soit sur Donald Trump, soit sur Kamala Harris en fonction de leurs positions sur des dossiers internationaux. Il est possible de lire l’analyse suivante : « Moscou et Téhéran pourraient également voir une opportunité de continuer à pousser le contenu favorisant leur résultat préféré. Par exemple, les acteurs d’influence russes ont poussé des messages négatifs sur la vice-présidente Harris et ont publiquement allégué des théories du complot sur son élévation au sommet du ticket. Les hackeurs iraniens pourraient essayer de publier du contenu dénigrant l’ancien président Trump ».
Selon les services de renseignements, la Chine souhaite également jouer un rôle dans le scrutin. Cependant, le pays veut influencer non pas le vote de la présidentielle, mais surtout celui du Congrès, l’objectif étant d’entraîner une paralysie des institutions politiques du pays. Comme à son habitude d’un point de vue géopolitique, la Chine souhaite mener des actions sur le long terme. Ainsi, les puissances étrangères souhaitent bien jouer un rôle dans ce scrutin.
Cependant, le rapport note que ces États hostiles aux États-Unis disposent de moyens suffisants pour perturber le bon déroulement du scrutin : « Beaucoup de ces pays n’avaient pas une appréciation totale pour les différents processus électoraux qui se produisent après la fermeture des bureaux de vote, et maintenant qu’ils ont une plus grande conscience de l’importance, ils ont une plus grande capacité de tenter de les perturber ». Le 5 novembre prochain risque d’être un moment historique pour l’avenir du pays, mais également pour le reste du monde.
À lire aussi : Pour Hillary Clinton : Donald Trump veut rendre hommage aux néo-nazis
Aucun commentaire
Loading