L’élection de Donald Trump le 5 novembre est cruciale pour le retour de la paix au Moyen-Orient

Rétablir l’alliance indéfectible avec Israël

Aucun président américain n’a jamais été aussi proche et aussi loyal envers Israël que Donald Trump. Pendant son premier mandat, il a pris des décisions audacieuses et historiques. En 2017, il a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et a déplacé l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. Un geste qui n’était pas seulement symbolique, mais qui montrait au monde que les États-Unis soutiennent pleinement le droit d’Israël à exister et à prospérer dans sa capitale historique. C’est un acte de courage politique qui a renforcé les liens entre Washington et Jérusalem comme jamais auparavant.

Le candidat républicain a également mis en place les accords d’Abraham, qui ont permis la normalisation des relations entre Israël et plusieurs pays arabes. Sous sa direction, les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Maroc et le Soudan ont signé des traités de paix avec Israël, un exploit qui semblait impossible quelques années auparavant. Il y a un an, après les massacres du 7 octobre, les démocrates et Joe Biden ont affaibli notre alliance avec Israël en ne soutenant pas suffisamment Benjamin Netanyahu dans cette guerre de civilisation contre la barbarie islamiste.

La fermeté contre la République islamique d’Iran

Personne n’a été plus ferme avec l’Iran que Donald Trump. Contrairement à l’administration Biden, qui cherche désespérément à renouer avec l’accord nucléaire désastreux de 2015, Donald Trump a montré qu’il ne craignait pas de faire face à ce régime théocratique. Il a mis fin à la participation des États-Unis à ce mauvais accord et a imposé des sanctions économiques écrasantes, faisant de l’Iran un pays aujourd’hui très affaibli économiquement. Grâce à lui, Téhéran n’a jamais été aussi affaibli, ce qui a directement contribué à la sécurité de nos alliés dans la région, à commencer par Israël.

Donald Trump emploiera la politique du rapport de force qui a porté ses fruits. Il ne permettra pas au régime des Mollahs de financer ses milices terroristes comme le Hezbollah et le Hamas, de développer des armes nucléaires, ou de menacer la stabilité du Moyen-Orient. Contrairement à Biden, qui s’est montré faible face à Téhéran, Donald Trump sait qu’il ne faut pas fléchir contre ce type de régime. Si le candidat républicain l’emporte le 5 novembre, l’Iran sait qu’il aura face à lui une Amérique forte, et non à une Amérique faible comme celle des démocrates.

Une lutte acharnée contre le terrorisme islamiste

Le président Trump a toujours été clair : il n’y a pas de négociation possible avec les terroristes. Que ce soit Al-Qaïda, Daech, ou le Hamas, ces organisations islamistes radicales doivent être éliminées. Pendant sa présidence, il a non seulement détruit l’État islamique, mais il a également montré une fermeté sans précédent face au Hamas, ce groupe terroriste qui contrôle la bande de Gaza, qui se sert des civils comme boucliers humains et menace la sécurité d’Israël.

En refusant de dialoguer avec le Hamas, responsable du pogrom du 7 octobre 2023 en désignant ce groupe comme une organisation terroriste islamiste, Trump a envoyé un message fort : les États-Unis ne toléreront jamais la violence contre Israël. S’il est réélu, il continuera cette politique de fermeté et veillera à ce que le Hamas ne puisse plus recevoir le soutien de l’Iran ou d’autres acteurs déstabilisateurs.

Le Hamas et ses alliés savent qu’avec Donald Trump à la Maison-Blanche, il n’y a pas de compromis, seulement des conséquences pour ceux qui choisissent la violence.
Trump ne se contente pas de parler fort, il agit. Sous sa future administration, les États-Unis continueront de soutenir Israël dans sa lutte contre le terrorisme, tout en travaillant à éliminer les réseaux financiers et militaires qui permettent au Hamas et à d’autres groupes islamistes de survivre.

Par Randy Yaloz, avocat franco-américain, président de Republicans Overseas Action (Monde) et France, et chercheur invité au Danube Institute, œuvre activement à la promotion des liens transatlantiques et à la défense des valeurs républicaines.