74 % des Français estiment qu’il y a un lien entre insécurité et immigration

Les faits sont têtus, têtus au point de s’imposer dans l’opinion malgré le lavage de cerveau médiatique. Selon un sondage Odoxa-Fiducial pour Le Figaro, 74 % de la population française est d’accord pour affirmer qu’il y a bien un lien entre insécurité et immigration.

De droite à gauche, les opinions varient

Sans surprise, ce sont les électeurs du Rassemblement national qui sont le plus en accord avec cette affirmation, à tout de même 95 %. Suivent Les Républicains avec 86 % d’opinion favorable, puis Renaissance avec 76 %, le PS à 62 %, Les Écologistes à 57 % et LFI à tout de même 46 % !

On observe donc, de manière linéaire, que plus on va à gauche, moins on pense que ce lien existe. Les gens se définissant comme « sans proximité partisane » estiment quant à eux que le lien entre insécurité et immigration existe à 71 %, soit proche de la moyenne française qui se situe à 74 %.

Des causes qui varient

Une divergence importante existe néanmoins au sein des camps quant aux raisons de cette surreprésentation. Ainsi, la moitié des Français ayant répondu « oui » estiment que si le lien existe, c’est d’abord « parce que les immigrés commettent davantage de crimes et délits » tandis que l’autre moitié considère que c’est « surtout parce que les immigrés appartiennent à des catégories plus précaires et plus défavorisées ».

Pour 76 % des électeurs du RN, le lien est effectivement expliqué par le fait que les immigrés sont plus propices au crime et à la délinquance, tandis que seul 16 % du PS et des écologistes et des socialistes adhère à cette opinion, lui privilégiant les facteurs socio-économiques.

Le lien entre insécurité et immigration maintes fois prouvé

Le lien entre insécurité et immigration n’est plus à prouver en France. De fait, les étrangers sont largement surreprésentés dans la grande majorité des crimes et délits : alors qu’ils représentent 7 % de la population, ils sont mis en cause dans 18 % des homicides, 18 % dans les violences sexuelles conjugales, 51 % des vols dans les transports (seulement pour les Maghrébins !), 31 % des agressions dans les transports, et cætera ad nauseam.

Pourtant, rappeler ces simples faits – la source étant le ministère de l’Intérieur – est passible d’accusation de racisme et de xénophobie par la gauche. De même, pour ce qui est de l’explication des crimes et délits par les conditions socio-économiques, on ne comprend toujours pas pourquoi la criminalité est bien plus faible à Denain qu’à Sedan, deux villes parmi les plus pauvres de France. Peut-être l’explication est-elle à chercher dans le type de population composant la majorité de ces deux villes, mais il ne s’agit là que d’une supposition.

 

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