Politique
[Édito] 5 solutions pour mettre la droite au chômage
La montée inexorable de la turbo maxi extrême droite vous fait peur. Vous, homme de gauche, voulez la combattre ? Il existe des solutions simples ! Appliquez-les et mettez les fachos au chômage, faites couler Frontières et sauvez la démocratie du fascisme.
1 / Arrêter l’immigration : un choix populaire
Les sondages sont clairs et constants : la majorité des Français s’inquiète de l’impact de l’immigration. Cesser l’immigration de masse incontrôlée depuis des dizaines d’années et instaurer une politique d’accueil plus sélective, comme par exemple n’accepter que les bacs +5 au lieu des bacs -10 du tiers-monde, serait un premier pas. Renvoyer tous les clandestins empêcherait les méchants fachos de faire de la récupération à chaque fois qu’un OQTF viole ou tue une petite Française, et expulser tous les binationaux qui commettent un crime ou un délit grave pourrait faire baisser la xénophobie, totalement injustifiée, ambiante.
Coupez l’immigration et expulsez-les pour faire taire l’extrême droite.
2 / Une justice implacable : rétablir l’ordre et faire respecter les lois
Les Français trouvent que la justice est laxiste, l’extrême droite fait son beurre dessus. Il y a des moyens simples pour régler ce problème. Cela implique de créer de nouvelles places de prison, beaucoup de places de prison, de garantir des peines fermes et de mettre un point d’honneur à les faire respecter. Je sais que cette idée peut paraître loufoque, mais effectivement, quand on voit que l’assassin de Philippine était sorti de prison au bout de 5 ans sur les 7 qu’il avait pris, certains Français peuvent illégitimement (le droit a été respecté) avoir un goût amer dans la bouche.
Instaurer une justice dure et qui respecte les peines qu’elle prononce fera taire les fascistes.
3 / Priorité nationale : défendre l’intérêt des Français
Les Français doivent être la priorité des politiques sociales. Voir des étrangers bénéficier des aides sans avoir contribué alimente un sentiment d’injustice. Par exemple, quand ils apprennent que 35 % des étrangers vivent dans des logements sociaux alors que la liste d’attente pour les Français peut dépasser les dix ans, cela crée un certain énervement (raciste). Tout comme apprendre que les étrangers de plus de 65 ans n’ayant jamais travaillé en France ont une « retraite », l’ASPA, à hauteur de 1 012,02 € par mois. On peut l’expliquer aux Français qui ont travaillé plus de 40 ans pour toucher leur misérable retraite, mais la pilule a du mal à descendre.
Mettre en place une priorité nationale permettrait d’éviter une escalade des mouvements radicaux au sein de la population française.
4 / Réformer les aides sociales et baisser la fiscalité des classes moyennes
L’État providence doit être redéfini pour encourager le travail. Les Français qui travaillent dur en ont un peu marre de se faire racketter la moitié de leur salaire pour financer tous les traîne-savates de la terre qui ont décidé de s’installer en France, légalement ou non d’ailleurs.
La liste et le coût de ce qu’on appelle les aides non contributives est effrayante pour eux :
- Le revenu de solidarité active (RSA)
- Les aides au logement (APL, ALF, ALS)
- Les prestations familiales (allocations familiales, complément familial, etc.)
- L’aide médicale d’État (AME)
- La couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C)
- L’aide personnalisée à l’autonomie (APA)
- L’allocation temporaire d’attente (ATA)
- Et bien d’autres
Les classes moyennes sont le ventre mou du fascisme. Il faut supprimer la majorité des aides sociales et le tabassage fiscale des français pour qu’elles arrêtent leur chemin vers la turbo droite réactionnaire.
5 / Investir dans la sécurité intérieure : un État fort face à l’insécurité
Les Français veulent se sentir en sécurité, un sentiment incompréhensible pour les humanistes que nous sommes. Mais voilà, ces petits fascistes en herbe réclament de ne plus se faire poignarder dans les rues ou violer dans le hall d’entrée de leur immeuble. Ils demandent à voir du bleu partout, une présence accrue dans les zones sensibles, et des moyens pour intervenir rapidement en cas de trouble. Donnons-leur.
Étonnamment, cette situation apaisée a existé en France récemment. Pendant les JO, Paris est devenue un havre de paix : policiers partout, insécurité en chute libre comme le QI moyen des français après une allocution de Sandrine Rousseau, expulsion des clandestins, des crackheads et des voleurs. Les Parisiens, pourtant majoritairement de gauche, ont adoré. On espère qu’un jour un sociologue, naturellement de gauche, pourra nous expliquer pourquoi ceux qui votent pour l’extrême gauche étaient ravis de vivre dans une ville d’extrême droite.
Pour en revenir à nos moutons, les 1 000 agressions gratuites et les 120 attaques au couteau par jour donnent du grain à moudre à la presse de giga extrême droite telle que Frontières.
Il faut mettre fin à la criminalité en France pour empêcher le renouveau du Troisième Reich et couper l’herbe sous le pied de toute cette presse qui met en avant ces centaines de milliers de faits divers tous les ans pour nourrir la bête immonde.
Le programme est simple, cher camarade de gauche : moins d’immigration, moins d’insécurité, moins d’injustice, moins de taxes et moins d’impôts pour avoir moins de fascisme.
Fermez les frontières pour faire fermer Frontières !
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