Immigration
Anvers : première porte d’entrée de la drogue en Europe
Durant une semaine, une équipe de Livre Noir a sillonné l’ouest de l’Allemagne, les Pays-Bas et la Belgique. Nous en sommes revenus avec une certitude : comme la France, l’Europe du Nord est sur le point de tomber sous les coups de l’immigration de masse.
Belgique, Anvers
Le port d’Anvers est le deuxième plus grand d’Europe après Rotterdam, mais détient un record imbattable : celui de première porte d’entrée de la drogue, notamment du haschich marocain, de la cocaïne colombienne et des drogues de synthèse de toute l’Amérique centrale.
Durant ce déplacement, nous sommes accompagnés par Filip Dewinter, le leader du parti nationaliste flamand Vlaams Belang –premier parti de Flandres avec un quart des électeurs, et deux de ses assistants. Dès notre arrivée, il nous donne une consigne : « Comptez les coiffeurs ». Interloqués, nous nous exécutons néanmoins. Rapidement, nous comprenons ce qu’il voulait dire : il y en a en moyenne cinq par rue, et rares sont ceux qui ont des clients. Est-ce parce que nous sommes jeudi matin ? Pas selon Filip Dewinter : « Ils sont là pour blanchir l’argent de la drogue », nous explique-t-il. L’information est impossible à vérifier, mais néanmoins crédible, surtout que dans une autre rue, le même phénomène se reproduit avec… les poissonneries ! Nous en voyons six sur deux cent mètres, chacune avec un « poissonnier » maghrébin de moins de trente ans sur son téléphone et presque aucun client. À la rue afghane succèdent la rue pakistanaise, la rue turque, les rues marocaines… « Chacun est réparti dans son quartier », nous explique Filip Dewinter.
Retrouvez notre reportage en intégralité dans le deuxième numéro de notre magazine, intitulé « Une terre, deux peuples », en kiosque le 8 décembre ! Rendez-vous sur notre site : https://livrenoir.fr/produit/livrenoir-edition-2/
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