Politique

Après l’annonce d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, certains sondages indiquent que le Rassemblement national pourrait arriver au pouvoir en obtenant une majorité relative ou absolue. Bardella à Matignon : mythe ou réalité ?

Un recours a été déposé devant le Conseil constitutionnel remettant en question le décret de convocation des élections législatives de 2024. Les plaignants estiment que les dérogations dans ce décret pourraient compromettre l’intégrité du scrutin.

Aurélien Pradié, député sortant du Lot, a vivement critiqué le ralliement d’Éric Ciotti au Rassemblement national (RN) pour les législatives des 30 juin et 7 juillet, qualifiant cette décision de “misérable” et contraire aux valeurs gaullistes des Républicains.

Gabriel Attal et plusieurs ministres, dont Élisabeth Borne et Yaël Braun-Pivet, se présentent aux élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet. Gabriel Attal, qui avait remporté la dixième circonscription des Hauts-de-Seine en 2022, se représente à Vanves.

Personne ne l’attendait, il l’a pourtant réalisé : la dissolution, arme nucléaire de notre constitution, a été actée dimanche soir par le président de la République. Comment comprendre une telle décision ?

Le FPÖ, le parti de droite identitaire autrichien qui a participé trois fois au gouvernement avec les sociaux-démocrates et les conservateurs, a réclamé un commissaire européen à la “remigration” après avoir remporté les élections européennes.

Livre Noir a décidé de s’inscrire dans son ère en réalisant un tournant radical : changer de nom. Désormais, Livre Noir s’appellera Frontières.

Une heure à peine après l’annonce des résultats des élections européennes, Emmanuel Macron annonçait la dissolution de l’Assemblée nationale après l’écrasante défaite encaissée face au Rassemblement national de Jordan Bardella. Il a affirmé vouloir « redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote ».

Les premières estimations des élections européennes ont confirmé une nette progression des droites nationalistes et radicales, et un revers cuisant pour les dirigeants des deux premières puissances de l’UE, le chancelier allemand Olaf Scholz et le président français Emmanuel Macron.