Livre Noir change de nom et devient “Frontières” !

Mes chers amis,

La dissolution de l’Assemblée nationale dimanche soir est un moment historique et une opportunité inédite pour le camp national et patriote.

Après des décennies de domination de la gauche, la réalité est simple : dans quatre semaines, la droite peut faire vaciller tout cela et réenclencher une dynamique de reprise en main de nos destins, français et européens. Oui, la victoire est possible, ténue, mais atteignable, et c’est le grand pessimiste que je suis qui l’affirme.

Ceux étourdis par cette annonce surprise et qui n’auraient pas encore perçu la force d’une telle opportunité doivent le comprendre dès maintenant : ce qui est en train de se passer sous nos yeux, c’est ce que nous attendions depuis des années, ce que le petit twittos anonyme réclamait aux grands partis traditionnels qui le méprisait, ce dont l’électeur moyen parlait à son voisin sans oser prendre la parole trop haut.

Aujourd’hui, le système implose : des alliances avant interdites sont passées en 24h de l’impossible au probable, du probable au possible, du possible à l’incontournable.

Mais nous ne devons pas tout attendre du politique ou du candidat qui ne peut pas mener cette bataille seule. Car ça n’est pas simplement une bataille électorale, c’est la plus grande bataille idéologique et culturelle que nous allons vivre dans les prochains jours.

L’extrême gauche descend déjà dans les rues contre le Rassemblement national, elle s’est alliée en 24h faisant de Gaza un sujet secondaire, et croyez-moi, les médias s’organisent pour diaboliser, les marchés financiers notamment internationaux s’excitent, bref, la diabolisation n’est pas près de s’arrêter. Ce serait folie de le penser, et ce même si tout craquelle de l’intérieur. Après quelques jours de stupeur, nous reverrons surgir les acteurs de films, le monde de la culture, tout cela alimenté par la puissance du service public. Mais attention : cela ne doit pas nous faire peur, au contraire, c’est un carburant. Mais il faut malgré tout combattre et ne pas simplement croiser les doigts.

C’est la raison pour laquelle chacun doit prendre sa part : auteurs, influenceurs, chefs d’entreprise, simples citoyens et journalistes.

Vous me direz : est-ce vraiment votre rôle de journaliste ? Sans vous soucier que Plenel ait passé les 36 dernières heures à appeler au rassemblement de la gauche sans que son statut de journaliste ne lui soit lui contesté. Les journalistes de StreetPress ou Libé ne se soucient pas eux de sonder leur fil d’actualité pour demander des idées sur le comment combattre l’extrême droite lors des élections. Et nous, nous devrions prendre des pincettes ?

Notre média va donc prendre pleinement sa part et c’est l’occasion pour moi de vous annoncer l’accélération de notre développement déjà prévu de longue date : d’ici à quelques semaines, une application mobile vous sera proposée, nous allons déménager dans de nouveaux studios vidéos pour démultiplier nos contenus viraux et débunker l’actualité au quotidien. Durant cette campagne, nous serons sur le terrain, du lundi au dimanche, du soir au matin. À la rencontre de cette France populaire qui en a assez d’allumer BFMTV et d’être insultée. Ensuite, ce seront trois longues années où il faudra continuer à enquêter, décrypter, vous informer.

Ce changement radical est incarné par notre changement de nom, annoncé il y a quelques minutes. Nous avons choisi un terme qui selon nous va structurer les décennies à venir : Frontières.

Ils ont voulu les abattre une à une, mais elles reviennent. Les frontières nationales, morales, civilisationnelles ou éthiques.

Notre média a toujours souhaité parler au peuple de droite dans sa diversité, sans négliger personne : cette notion de frontières, elle, est justement ce socle commun.

Depuis lundi, les compteurs ont été remis à zéro.

Alors oui, vous ne pouvez pas tous vous engager de la même façon dans ce combat informationnel : nous le faisons pour vous. Si vous souhaitez nous accompagner, soutenez nous en vous abonnant à votre média et en participant à notre campagne de dons défiscalisés qui permettra de financer ce développement et nos déplacements. Rien ne doit être négligé. Toutes nos forces doivent être mises dans la bataille, au-delà des différents idéologiques ou personnels.

Rendez-vous sur www.frontieresmedia.fr et à bientôt

Tout commence.