Enquêtes
INFO – Une jeune femme victime d’un viol avec usage d’une arme par un marocain sous OQTF
Frontières s’est procuré des informations concernant le viol d’une jeune femme par un clandestin sous OQTF et dont aucun média n’a fait émerger l’information
Mercredi 2 octobre un individu marocain de 37 ans sous OQTF a été placé en détention provisoire après le viol d’une jeune femme avec usage d’une arme à Amiens.
Un viol abominable commis par un marocain sous OQTF
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 12 septembre 2024 lorsqu’un homme entre par effraction dans le domicile de Romane. En sursaut, la victime se réveille brusquement. Elle allume la lumière, et se retrouve face à face avec Kader Bouchaba, un Marocain visé par une OQTF depuis le 20 octobre 2022.
Le souffle court, Romane lui demande ce qu’il fait chez elle, mais ses paroles se perdent dans le silence. Le marocain ne répond rien, et se rapproche d’elle. Romane tente de le repousser, en vain. Sans pitié, l’homme la déshabille, lui intime l’ordre de se taire, puis la plaque brutalement sur le lit. Un couteau glissé au-dessus de sa poitrine, le message est clair : au moindre cri, la lame plongera.
Pendant une heure, interminable, Kader Bouchaba, marocain sous OQTF viole Romane en la saisissant par les cheveux.
Le marocain impose à la jeune femme des fellations et de multiples pénétrations tout en gardant son couteau dans la main pour menace. Kader Bouchaba met la victime à genoux, la force à l’embrasser, et va même jusqu’à exiger de Romane un mariage forcé.
Le cauchemar prendra fin lorsque Kader avant de quitter l’habitation, demande de l’argent, et vole l’ordinateur ainsi que le téléphone de la victime. « Ne préviens pas la police, ou je reviendrai. » dit-il à Romane en partant.
Kader Bouchaba sera interpellé sur mandat de recherche et placé en garde à vue le 30 septembre 2024. Le marocain conteste les faits mais sera placé en détention provisoire le 2 octobre au vu des preuves accablantes de son implication comme la présence de trace de sperme dans l’appartement de la victime.
Un profil déjà connu des services de police <
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