Enquêtes
[Reportage vidéo] Frontières en caméra cachée au CRA de Marseille : un hôtel pour clandestins sous OQTF
Frontières a pu passer 24h en immersion dans le Centre de Rétention Administrative de Marseille, avec le député UDR Gerault Verny, où se chevauchent prières islamiques, parties de baby-foot et de musculation, repas copieux et agressions envers les infirmières traitées de “sale française”, le tout sous couvert d’associations gavées d’argent public. Plongez en caméra cachée avec nous dans l’enfer de cet hôtel pour clandestins en situation irrégulière.
Notre enquête vidéo : 24h dans un centre de rétention de migrants à Marseille
Failles de sécurité, évasions, infirmières violentées et traitées de « sale blanche », Coran et cocaïne dans les cellules, salle de TV, associations et avocats en soutien, au CRA de Marseille, les conditions de vie ne sont pas celles que l’on croit. Difficiles, certes, mais pas pour les clandestins retenus chers au député d’extrême gauche, Antoine Léaument. Elles sont insoutenables pour les agents de police et d’infirmerie, aux premières loges de la défaillance de l’État.
Un abandon, et une hypocrisie de l’État qui donne raison d’une main aux policiers puis leur reprend de l’autre en subventionnant des associations pro-migrants et pro-clandestins, que le député UDR Gérault Verny a pu constater en affrontant un clandestin multi-récidiviste (7 séjours en prison) qui ne comprend pas pourquoi son interlocuteur estime qu’il n’a rien à faire sur le sol français.
Un délinquant qui juge “normale” sa situation, car il n’a pas fait de “criminelle” : la belle affaire. Normale, également, que des infirmières, aux petits soins avec ces personnes en irrégularité sur notre sol se fassent elle traitées de “sale française”, quand leur “blancheur” ne fait pas l’objet d’un ordre intimé d'”aller brûler en enfer”.
Difficile, après un tel documentaire, de supporter encore de financer à hauteur de 602€ par jour le placement en rétention de chacun de ces individus, qui, s’ils ne sont pas expulsés, seront relâchés dans la nature comme le meurtrier de la jeune
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