Politique
« Au Parlement, il y en a beaucoup qui veulent la guerre » : Jean-Paul Garraud sonne l'alarme face à une escalade du conflit ukraino-russe
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Jean-Paul Garraud, député européen et chef de la délégation française du groupe Patriotes pour l’Europe, a détaillé la ligne de son groupe sur la crise ukrainienne. Une position qu’il affirme « constante » et « inflexible ».
Le groupe politique du Parlement européen ne transige pas : « Nous condamnons toujours fermement l’agression russe sur le sol ukrainien, notre position reste toujours la même », martèle-t-il, qui insiste sur une « condamnation sans équivoque » de l’action de Moscou. Un tel appui envers le grenier de l'Europe s'est concrétisé par des votes en faveur de mesures visant à fournir du matériel militaire défensif à Kiev. « Avec cela, l'ambition est qu’elle se défende et non pas qu’elle attaque », précise Jean-Paul Garraud, rappelant l’objectif premier qui est d’éviter toute escalade du conflit.
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2 commentaires
Jack
Les belliqueux d'aujourd'hui n'ont rien fait pour augmenter le budget des armées qui est sacrifié depuis le décoré de la francisque f. mitterrand et je ne parle pas de celui que nous avons actuellement qui avait proposé, pour faire des économies, d'abandonner le nucléaire militaire. Trump avait prévenu les européens, il est de retour et nous méprise. Nous l'avons bien cherché
SapereAude
Trump est lucide sur l’Europe, et son vice président J.D. Vance l’a dit très clairement : une première fois en disant que l’Angleterre allait devenir le premier État musulman d’Europe qui possède la bombe nucléaire. Une deuxième fois en avertissant que le plus gros danger pour l’Europe est elle-même, à cause notamment des atteintes à la liberté d’expression mais aussi à cause de la politique d’immigration de masse musulmane. Il a rappelé à cette occasion que les USA ne défendrait l’Europe que dans la mesure où celle-ci partage les mêmes valeurs démocratiques, ce qui ne peut plus être le cas selon Vance si l’Europe annule des élections, emprisonne pour des messages sur X, ou ne défend pas les valeurs judéo-chrétiennes qui sont les fondations de l’Occident. Puis une troisième fois, dans son allocution lors du petit déjeuner de l’association des catholiques américains, où il a affirmé qu’ils défendraient toutes les religions, mais surtout qu’il défendra la sienne en premier, dans un esprit de garantir à sa descendence de pouvoir bénéficier de ses valeurs dans son propre pays…
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