Immigration
Un milliard d’euros pour les associations pro-immigration : Retailleau veut leur couper les fonds
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a mis en cause les associations intervenant au sein des centres de rétention administrative, que l’État finance d’un milliard d’euros. Focus sur celles-ci.
Cinq associations. Dans un entretien accordé à nos confrères du Figaro Magazine, le nouveau ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a pointé du doigt le manque d’exigence de l’État vis-à-vis des associations qui interviennent auprès des personnes placées en centres de rétention administrative (CRA). « Je considère que le conseil juridique et social aux personnes retenues dans les CRA relève de l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) et non des associations, qui sont juge et partie », a notamment déclaré le locataire de la place Beauvau.
Ces associations sont au nombre de cinq : Forum Réfugiés-Cosi, France terre d’asile, le Groupe SOS Solidarités – Assfam, La Cimade et Solidarité Mayotte.
Des associations de gauche ouvertement pro-immigration
De prime abord, le principe que l’État s’adjoigne les services d’associations, comme il le fait sur d’autres sujets, ne semble pas choquant. Néanmoins, l’examen approfondi desdites associations intervenants au sein des CRA ne manque pas de faire tiquer : elles sont toutes de gauche et assument clairement leur soutien à l’immigration. De là à y voir de l’entrisme pour faire progresser leur idéologie…
La Cimade, fondée en 1939 par des pasteurs protestants, « s’implique de plus en plus en réaction aux projets de loi réduisant les droits des immigrés » dès les années 1970. Elle est présente au sein des CRA dès 1984 pour « apporter un soutien et une écoute aux personnes, et à leur offrir une assistance juridique afin qu’elles puissent exercer des recours ». Pourtant, la Cimade ne cache nullement son hostilité au
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1 commentaire
m.patiou
Edifiant, quoi que non surprenant. Les socialistes ont séparé l'Eglise de l'Etat. Il faut désormais séparer l'état du socialisme.
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