Société
Des militants d’extrême gauche arrachent des affiches rendant hommage à Philippine
Dans plusieurs établissements d’enseignement supérieur, des affiches en mémoire de Philippine, tuée par un clandestin, ont été collées. Quelques minutes seulement après, des militants d’extrême gauche les ont arrachées.
Depuis l’annonce de la mort de la jeune Philippine, 19 ans, tuée par un clandestin marocain visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF), de nombreux militants et citoyens lambdas se sont mobilisés, sur les réseaux sociaux et sur le terrain, pour demander justice et rendre hommage à la jeune étudiante.
Affiches de Philippine arrachées : les syndicats étudiants de droite s’indignent
Ainsi, à Sciences Po Lyon, quelques minutes après la séance d’affichage en mémoire de Philippine, les affiches sur lesquelles était inscrit « Justice pour Philippine, étudiante assassinée par une OQTF non exécutée » ont été collées. Mais c’était sans compter le militantisme d’étudiants idéologisés qui les ont arrachées au bout de quelques minutes, alors qu’elles étaient apposées sur un espace d’expression libre.
Il en a été de même sur le campus de l’université de Grenoble, où des militants de l’UNEF – un syndicat étudiant marqué à gauche – sont directement allés les arracher. Face à ces situations, La Cocarde étudiante et l’UNI, deux syndicats étudiants de droite, sont montés au créneau sur les réseaux sociaux et ont dénoncé l’école de « l’anti-France ».
Posters affichés ce matin à Sciences Po Lyon, quelques minutes plus tard…
L’école de l’antifrance pic.twitter.com/AtBdBTdZCu
— Edouard Bina (@Edouard_etud) September 25, 2024
Aujourd’hui, alors que nos militants collaient des affiches en hommage à Philippine sur le campus de Grenoble, des militants de l’UNEF sont directement allés les arracher.
L’extrême-gauche se fiche de la mort d’une étudiante car l’assassin n’a pas le bon profil. L’anti-France. pic.twitter.com/jLdTvkqn7l
— UNI (@droiteuniv) September 26, 2024
En parallèle, d’autres jeunes militants de droite ont pris l’initiative d’imprimer et de coller des affiches à la mémoire de la jeune étudiante, notamment à Aix-en-Provence. Après la mort de Thomas, tué à Crépol par des racailles, le même élan de solidarité avait amené à recouvrir de nombreuses villes de France d’affiches, pour demander justice et rendre hommage au lycéen de 16 ans.
À lire aussi : Affaire Philippine : les douloureux précédents des OQTF non-exécutées
2 commentaires
brador84@gmail.com
Compagnon d’une enseignante, au cœur du problème éducatif chaque jour verbalement, je constate qu’une grande partie des enseignants cautionnent la disparition de la France en temps que NATION et surtout son histoire d’avant 1789…aujourd’hui, aucun réveil n’est possible. Les médias et les dirigeants ont verrouillé toute contestation. C’est la fin d’une Nation brillante et respectée.
Signaler un abusjoseph@974
Depuis bien longtemps les ex étudiants soixante huitard , devenus professeurs , font l’école de l’antifrance, une propagande continue qui jusqu’à nos jours pignon sur rue, puisque tous les journalistes, pratiquement sont sur cette ligne et une grande partie de la population qui a toujours tendance à voter Macron
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