Politique
Censure du média Occidentis sur Instagram : Frontières crée une pétition
Une semaine après la censure du média Occidentis. La rédaction de Frontières se mobilise et met en ligne une pétition afin de défendre la liberté de la presse, et lutter contre toute les formes de censure.
Le média Occidentis, fondé par David Alaime il y a cinq ans s’est vu être censuré du réseau social Instagram. La raison ? Aucune, le groupe Media n’a communiqué aucun motif valable au fondateur du compte. Profondément attachée à la liberté d’expression, quel qu’en soit le courant politique, notre média a créé une pétition en ligne. Vous pouvez la consulter, et la signer en cliquant sur le lien suivant : pétition.
Occidentis, le média qui met en lumière les informations passées sous silence
Premier média alternatif de droite sur Instagram en nombre d’abonnés, Occidentis veille à mettre en lumière de nombreuses informations que la majorité des médias ignore ou néglige, bien souvent par idéologie. David Alaime, son créateur, fonde Occidentis à 22 ans, en parallèle de ses études. Plus qu’un simple compte sur un réseau social, Occidentis est un véritable projet, bâti au travers des années, et le fruit d’un travail sans relâche. Cette censure n’est pas un cas isolé, d’autres comptes de droite ont également été supprimés par le groupe Meta. Parmi eux Alice Cordier la présidente du Collectif Némésis, ou bien une Bonne droite, un compte de relais d’information. Des profils qui n’ont pas prêté allégeance à l’idéologie dominante mais qui ont décidé de voir le réel, tel qu’il est.
Censure des médias de droite : défendre la liberté d’expression
Le soutien envers David Alaime, au travers de cette pétition, dépasse le cadre d’un corporatisme aveugle. Il s’agit là de défendre la liberté d’expression des médias, quelles que soit leur ligne éditoriale et les informations qu’ils décident de traiter. Tous ceux favorables à la liberté des idées se doivent de signer et de relayer cette pétition. Cette entrave à la liberté d’expression est inacceptable, et ne comporte pas le moindre fondement juridique. Si aujourd’hui les médias sur Internet sont ciblés, les médias plus institutionnels, de droite pourraient aussi être concernés demain. Cette censure est grave, de notoriété publique, et menace la liberté d’expression de notre pays. Alors levons-nous ensemble et ne restons pas silencieux.
Contactez les politiques et les influenceurs, appelez-les à se mobiliser, à ne pas fermer les yeux. Signez cette pétition et surtout, relayez-la ! L’ensemble de la rédaction Frontières vous remercie pour votre soutien. Ne lâchons rien.
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