Politique
[Edito] En responsabilité, ils ont tout fait foirer
Macron nous disait que c’était lui ou le chaos, en réalité, c’est lui et le chaos, en responsabilité !
Depuis trop longtemps, les responsables politiques de ce pays nous assènent, la main sur le cœur et le ton grave, qu’ils agissent « en responsabilité ». Ils nous expliquent qu’il est impensable de changer de politiques sous peine de… sous peine de quoi ? En réalité, les architectes de la destruction de la France nous expliquent qu’ils n’ont pas fini le travail et qu’il leur faut encore quelques années pour achever le pays.
Macron a, en responsabilité, fait passer la dette du pays de 2 000 milliards à 3 000 milliards. Il a, en responsabilité, fait entrer 4 millions d’immigrés du tiers-monde.
En responsabilité, ils ont fait exploser les impôts, étranglant les Français pour financer un État obèse et incapable de gérer quoi que ce soit efficacement. Les dépenses publiques, toujours plus délirantes, alimentent un déficit chronique. Et ce déficit, transformé en dette abyssale, dépasse désormais les 3 000 milliards d’euros. Trois mille milliards ! Une montagne de dettes léguée à nos enfants, un fardeau que nous n’aurions jamais dû leur imposer.
En responsabilité, ils ont laissé les Chinois détruire notre industrie. Ils ont laissé les Américains piller nos fleurons technologiques, en prenant leur chèque au passage et en laissant des millions d’employés au chômage.
En responsabilité, ils ont choisi la fuite en avant. Ils ont acheté la paix sociale à coups d’aides, de subventions et de politiques court-termistes. Plutôt que d’affronter les défis structurels, ils ont préféré distribuer des chèques et des primes, espérant que l’addition arriverait après leur départ.
Sans la moindre réflexion sur les conséquences de ce raz-de-marée migratoire. Résultat : un pays vivant une guerre civile de basse intensité, des tensions insolubles et une société fracturée. Désormais, on vient pour tuer des Blancs dans des bals de village, on décapite des prêtres, on égorge des enseignants.
Ils osent nous parler de responsabilité ? Il est grand temps de renverser la table. Nous, jeunes générations, n’avons pas demandé à hériter de leur chaos. Pourtant, c’est nous qui devrons le gérer. Et si nous devions choisir entre un désordre immédiat et un désastre exponentiel dans 20 ans, le choix est simple : le chaos, maintenant. Affronter la tempête, reconstruire sur les ruines. Ce serait là un acte véritablement responsable.
Les vrais irresponsables, ce sont eux. Ces boomers et leurs successeurs, qui, depuis un demi-siècle, gouvernent avec un aveuglement meurtrier. Ils ont sacrifié l’avenir de leurs enfants et de leur pays pour préserver leurs conforts et maintenir les apparences. Et ils osent encore nous donner des leçons ?
La véritable responsabilité, c’est d’avoir le courage d’affronter les problèmes de front. De prendre les décisions difficiles aujourd’hui, plutôt que de laisser nos enfants payer pour nos lâchetés. Il est temps que cette mascarade cesse.
Machiavel écrivait : « Aussi les Romains, qui savaient prévoir de loin tous les inconvénients, y remédièrent toujours à temps, et ne les laissèrent jamais suivre leur cours pour éviter une guerre : ils savaient bien qu’on ne l’évite jamais, et que, si on la diffère, c’est à l’avantage de l’ennemi. »
Responsables ? Non. Coupables !
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