Donald Trump à l’Élysée : les images d’une poignée de main tendue

Les trois chef d’État ont discuté. Samedi 7 décembre, Donald Trump est venu à Paris pour assister à la réouverture de Notre-Dame de Paris. D’après nos confrères du Figaro, le président élu américain a eu un entretien à l’Élysée avec Emmanuel Macron. Cette rencontre, la première depuis l’élection de Donald Trump le 6 novembre dernier, est aussi le premier déplacement international du nouveau président américain, avant sa prise de fonction officielle le 20 janvier prochain.

📸Sur ce plan, on voit que le bras de #Macron a failli finir en morceaux. 😁

78 ans, les poignées de main de Trump sont dévastatrices. https://t.co/67MwAis3jI pic.twitter.com/DuVzJJ0dod

— Trump Fact news 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) December 7, 2024

L’Ukraine au menu des discussions entre Macron et Trump ?

D’après Le Figaro, les deux hommes ont abordé le sujet crucial de la guerre en Ukraine. Et ce, d’autant que le président ukrainien, Volodymyr Zelinsky, est aussi à Paris. Emmanuel Macron souhaite que la France et l’Europe aient leur mot à dire dans de futures négociations entre les Occidentaux et les Russes sur le sort de l’Ukraine. Le Figaro a affirmé que le président français pourrait en profiter pour faire se rencontrer Donald Trump et Volodymyr Zelinsky à l’Élysée, et souhaiterait participer à la discussion, de façon à faire peser la France dans le dossier. De fait, les trois hommes se sont bel et bien vus à l’Élysée.

Éviter un « quick deal »

🚨🇫🇷🇺🇲🇺🇦 Donald Trump est en compagnie de @EmmanuelMacron et @ZelenskyyUa.

Le visage de #Trump est tendu. Les choses sérieuses commencent. Trump va commencer à négocier la paix et à arrêter le conflit avec la Russie🇷🇺. pic.twitter.com/wkrGMnL2AH

— Trump Fact news 🇺🇸 (@Trump_Fact_News) December 7, 2024

L’idée de cette discussion tripartite sous égide française : éviter un « quick deal », c’est-à-dire un accord trop rapide, jugé défavorable à Kiev. En effet, l’Ukraine est chaque jour davantage sur la défensive, perdant du terrain face à l’armée russe. Dans ce contexte, Trump pourrait infléchir sa position initiale, favorable à une résolution rapide du conflit, pour ne pas donner davantage à la Russie, mais aussi aux alliés de celles-ci, la Chine, la Corée du Nord, et l’Iran, pays hostiles aux États-Unis.

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