Brooklyn : une femme endormie dans le métro brûlée vive par un migrant guatémaltèque

Des faits d’une rare violence se sont déroulés dimanche 22 décembre, à Brooklyn, vers 7h30, à la station Coney Island-Stillwell Avenue. Alors que des millions de New-Yorkais empruntaient les transports en commun, une femme endormie dans une rame de métro a été brûlée vive par un inconnu. L’agresseur, un migrant guatémaltèque, s’est approché d’elle et a enflammé ses vêtements avec un briquet. Le feu s’est rapidement propagé, brûlant la femme avant que les policiers en patrouille ne puissent intervenir. Malgré leurs efforts pour éteindre l’incendie, la victime est décédée sur place.

Selon les autorités, l’assassin est descendu du wagon après l’attaque et s’est assis tranquillement sur un banc dans la station, observant la scène. Ce comportement macabre a été capté par les caméras de surveillance. L’agresseur, un migrant guatémaltèque arrivé aux États-Unis en 2018, a été identifié grâce à un appel au 911 lancé par des lycéens qui ont reconnu l’individu dans une autre rame. Le suspect a été appréhendé par la police avec un briquet en poche.

Le pays sous le choc

Cet incident a provoqué une onde de choc à New York, une ville qui connaît généralement peu de crimes violents dans son métro. La commissaire de police de New York, Jessica Tisch, a qualifié l’attaque de « l’un des crimes les plus dépravés qu’une personne puisse commettre ». La situation a aussi attiré l’attention d’Elon Musk, patron de X, qui a réagi avec véhémence sur son réseau social : « Ça suffit », a-t-il déclaré, exprimant sa consternation face à ce meurtre.

Le maire et la gouverneure de New York ont renforcé les mesures de sécurité dans le métro après plusieurs incidents violents, notamment en déployant davantage de patrouilles pendant la période des fêtes. Comme le rapporte Cnews, l’enquête sur les circonstances de l’attaque continue, les autorités cherchant à comprendre les raisons de cet acte d’une brutalité sans précédent.

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