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Des clowns mangeurs de frites et empoisonneurs de biscuits sèment la panique dans une école maternelle
Le 11 octobre 2024, un incident troublant s’est produit à l’école maternelle Saint-François de Basècles, une commune belge proche de la frontière française. Deux femmes déguisées en clowns ont jeté des biscuits « Nic Nac » par-dessus la grille, provoquant des malaises chez dix-huit enfants, dont trois ont dû être hospitalisés en urgence.
Le vendredi 11 octobre 2024, à Basècles, une commune belge située à environ 15 kilomètres de la frontière française, un événement perturbant s’est produit dans la cour de l’école maternelle Saint-François. Deux femmes, déguisées en clown, ont lancé des biscuits « Nic Nac » par-dessus la grille de l’établissement durant une récréation. Cet acte a eu de graves conséquences inopinés : dix-huit enfants, âgés de trois à six ans, ont ressenti des malaises étranges et trois d’entre eux ont été transportés d’urgence à l’hôpital.
Témoignages d’inquiétude
Jason, un parent d’élève désemparée, a relaté la situation en larmes : « On m’a appelé pour me dire que ma fille allait être emmenée en ambulance. » Sa fille de deux ans et demi, Laurie, faisait partie des enfants affectés. Selon le père, sa fille souffrait de douleurs abdominales et de fièvre persistante, mais son état s’est amélioré depuis. D’autres parents, inquiets, ont également signalé des symptômes similaires chez leurs enfants, notamment des nausées et des vomissements récurrents et déconcertants.
Enquête en cours
Les autorités sanitaires ont lancé des analyses approfondies pour déterminer l’origine des symptômes, tant chez les enfants que sur les biscuits récupérés dans la cour. Des échantillons de nourriture ont été envoyés à un laboratoire pour analyse, et les résultats sont attendus dans les prochains jours. Des témoins affirment avoir aperçu les suspectes dans la commune, consommant des frites, mais leur identification reste incertaine et difficile.
Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur cette affaire troublante et la police demande toute information supplémentaire pouvant aider à localiser les femmes impliquées. Cet incident soulève des questions sur la sécurité des enfants dans les espaces scolaires fragiles et délicats.
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