Endoctrinement, mineurs et propagande : infiltration au cœur du lobby trans

Dans le cadre d’une vaste enquête et infiltration au cœur de l’extrême gauche initiée par Frontières, l’une de nos journalistes a infiltré une association pro-trans, financée en partie par la mairie de Paris. Entre endoctrinement, mineurs désabusés et propagande LGBT, elle raconte.

SAMEDI 24 FÉVRIER LA BULLE

J’entre timidement dans les grands locaux vitrés de la « Bulle », une « maison des solidarités LGBT » située dans le IVe arrondissement de Paris. Cet espace interassociatif, inauguré en mai 2023, est « dédié aux personnes les plus vulnérables, les plus invisibilisées au sein de la communauté LGBTQI+ » selon la description de la Ville de Paris. La mairie a accordé un montant de 590 000 euros à la Bulle pour remettre à neuf le bâtiment. Le loyer, très arrangeant, a été réduit à 10 000 euros par an par la ville, soit quinze fois moins que le prix du marché. J’ai décidé de me rendre ici car je me suis rendu compte, en faisant des recherches, que l’une des associations hébergées dans la « Bulle » organise des groupes de parole pour les « enfants transgenres entre 6 et 18 ans » et leurs proches.

Assemblée trans – générationnelle

Cette association s’était déjà fait connaître quand l’un de ses intervenants avait accusé des jeunes élèves d’être « transphobes » lors d’une intervention devant des classes de 4ᵉ à l’École alsacienne. Je décide d’aller voir ce qu’il se trame lors des fameux groupes destinés aux enfants. Dans la grande salle ouverte, percée par un escalier qui mène au sous-sol, des adultes s’installent autour d’une table. Anaïs Perrin-Prevelle, femme trans quadragénaire et présidente de l’association, nous accueille gentiment et nous invite à nous assoir. Je regarde autour de moi et je ne vois aucun enfant, j