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[BLOG FRT] Immigration sauvage et massive : l’angle écologique
Si maintenant le problème de l’immigration massive et sauvage, « l’Invasion », est traité dans tous ses aspects au sein de la société : sociétal, social, civilisationnel, économique, juridique, sécuritaire, il n’est jamais traité sous l’angle de son impact écologique.
Si maintenant le problème de l’immigration massive et sauvage, « l’Invasion », est traité dans tous ses aspects au sein de la société : sociétal, social, civilisationnel, économique, juridique, sécuritaire, il n’est jamais traité sous l’angle de son impact écologique.
En effet c’est un impensé des écologistes politiques… car impensable ou non exprimable par eux
L’angle écologique : le nécessaire équilibre entre taille de la population et territoire de vie.
Au-delà de la fracture de nature civilisationnelle au sein de la nation et sa fracture du Corps Social avérée et admise par une majorité de citoyens quant à la non maîtrise de l’Invasion, la surcharge populationnelle sur le Territoire de Vie est à considérer :
– comme un facteur aggravant le péril écologique par la diminution de la Réserve de Vivant : air, eau, terres, énergie…
– comme un facteur accélérateur d’anthropophagie sociale par la restriction d’espace vital et la restriction d’accès aux infrastructures humaines qui maintenant ont dépassé leur limites de de capacité (transport, logements, services publiques, … ) et ne doivent plus être étendues.
Le propos est de démontrer que le champ de conscience du citoyen face au péril civilisationnel qu’est « l’Invasion » doit être augmenté de la « pensance écologique » voir transcendé par celle-ci pour justifier et assumer la radicalité nécessaire quant aux mesures de sauvegarde de notre territoire de vie et de ses ressources vitales.
NB : la radicalité c’est le processus cognitif qui permet les ruptures de paradigme en revenant à la racine des choses ou « retour aux fondamentaux »
Que nous rappelle le péril écologique ? : l’impératif du moins mais mieux
- Que l’homme est un animal social mais avant tout un animal partie prenante de « chaines alimentaires » maintenant en rupture d’équilibre et donc en péril (biodiversité)
- Que la gestion de l’équilibre entre population et ressources est un des impératifs fondamentaux du Vivant et qu’elle a complètement échappé à l’Humanité… (sauf à Malthus que l’on a malheureusement pas écouté en son temps).
- Que la décroissance matérielle doit être compensée par une croissance dans le registre de l’immatériel pour son acceptabilité économique ce qui suppose un certain développement « spirituel » d’une société unie
- Que la sobriété attendue du consommateur, son retour à l’essentiel, doit être « heureuse »et compensée par un mieux vivre : moins mais mieux mais pas avec n’importe qui.
Le déclin démographique : une opportunité pour le Territoire de Vie et son potentiel de régénération
Alors que la Terre supporte 8 milliards d’individus et qu’’avec le modèle de développement actuel « occidental » elle ne peut faire face qu’à 2 milliards à peine, que la surpopulation est un éco-suicide majeur, on trouve encore des propos de « dinosaures en sciences économiques » mettant en corrélation retraite et natalité :
Faire plus d’enfants pour payer les retraites et relancer une politique nataliste ou pire continuer à récupérer les enfants « poubelles » de l’Afrique (noire et blanche), que l’on devrait renvoyer à sa responsabilité parentale, est une hérésie écologique.
La robotisation, l’informatisation avalent toujours plus le travail, est-ce que ces travailleurs numériques cotisent pour les retraites ?
Que nous demande la sauvegarde du Territoire de Vie, substrat du Vivant ? : la solidarité organique du Peuple en tant que Groupe Social comme gardien de son écosystème.
Que la sauvegarde du territoire comme substrat du Vivant nécessite que le Groupe Social qui l’occupe sache assurer un continuum Nature/Culture pour sa préservation
Et pour cela organiser « un vivre ensemble ». Celui-ci ne ressort pas d’une injonction paradoxale sous-entendant « aimez -vous les uns les autres » (ingouvernabilité des sentiments) quand la haine est ce qu’il y maintenant de mieux partagée à l’issue du bilan des cinquante désastreuses et de ses trahisons par les élites au pouvoir quant à l’existence et l’essence du peuple.
Face à l’adversité, cette sauvegarde du Territoire comme substrat écologique ne peut se faire sans une solidarité organique du Groupe Social. Qu’entendre par solidarité organique ?…
Non pas celle, compassionnelle, qui consiste à partager le « croûton » quand on est au fond du trou…
Mais celle qui ressort d’une « reliance » par les règles, us et coutumes partagés, d’autant plus forte qu’elle est implicite, comme une garantie pour l’individu de pérennisation de son identité d’autochtone avec tout l’enracinement biologique et spirituel qui va avec.
Fort de cette compréhension du lien entre Territoire de Vie et Groupe Social via l’impératif de solidarité organique pour assurer le continuum Nature/Culture dans sa singularité nationale on comprendra que la notion de société multiculturelle est un oxymore.
La nation pollueuse de cette idée immonde redoute maintenant une nouvelle guerre de sécession…
En synthèse
La genèse du péril écologique étant la surpopulation, le déclin démographique de la France ou autre pays européen était une chance pour retrouver de l’espace vital et dédensifier, diminuer la charge des infrastructures humaines en tout genre et ainsi revitaliser plus facilement notre écosystème.
Cette surcharge démographique due à l’immigration non contrôlée des 50 dernières en réduisant notre espace vital tant sur un plan quantitatif que qualitatif et en plombant notre société et sa nécessaire solidarité organique, contribue à obèrer nos capacités de rétablissement écologique au sens profond du terme.
« L’Invasion » ou l’accélérateur « anthropophagique », comme un détournement de l’énergie à fédérer pour le combat essentiel de l’adaptation face au péril écologique, une perte de chance vitale…