Politique

L’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur est souvent présenté comme une aubaine pour l’Europe, promettant un accès privilégié à un marché de 270 millions de consommateurs. Cependant, cette vision idéalisée défendu par Patrick Cohen, ignore les risques réels qu’il pose pour l’agriculture française.

Ce mardi 19 novembre, lors de la traditionnelle séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, le député Identité Libertés (IDL), Thibaut Monnier, a interpellé le garde des Sceaux, Didier Migaud, sur le drame de Crépol survenu il y a un an. « Quand allez-vous agir ? » interpelle-t-il le ministre de la Justice.

Éric Naulleau a accordé un entretien à Frontières. L’essayiste a évoqué l’élection de Donald Trump tout en analysant la politique de clientélisme propre à la France insoumise. Il insiste aussi sur l’importance de maintenir le dialogue avec les courants d’extrême-gauche.

Des agriculteurs de la Coordination Rurale ont retiré le drapeau européen à Pessac, remplaçant l’emblème par un amoncellement de fumier et de pneus.

Alors que la colère agricole reprend de l’ampleur partout en France, près de 200 agriculteurs se sont rassemblés ce lundi à Montpellier pour faire part de leurs revendications. Frontières était sur place.

ENTRETIEN – Dimanche, Mathieu Bock-Côté, essayiste québécois de renom, s’est exprimé sur Frontières pour analyser la victoire de Donald Trump et tirer des leçons cruciales pour la France. Voici ce qu’il faut retenir de cette conversation essentielle.

D’après des révélations de Mediapart, Manuel Valls s’est reconverti comme consultant pour le Bahreïn. Il a participé à une mission controversée en juillet dernier. Au cœur de cette affaire, un conflit judiciaire complexe financé par des fonds opaques, mêlant justice internationale, géopolitique et lobbying, qui soulève des questions sur l’éthique et la transparence de l’ancien Premier ministre.

Dans cet édito, Garen Shnorhokian revient sur la folie qui a atteint la gauche avec l’élection de Trump.

Le procès des assistants parlementaires du Rassemblement national suscite des tensions, après les réquisitions de cinq ans de prison, dont deux avec sursis, à l’encontre de Marine Le Pen. Bruno Retailleau a prôné le respect du cadre judiciaire, appelant à laisser la justice suivre son cours sans anticiper la décision finale.